Nouvelle Sensation

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Amateur

Nouvelle sensation

Elisabeth et Marc sont marier depuis 40 ans ils se sont connu au début de leurs études au secondaire et sont tout de suite tombé en amour l un de l autre. Mais depuis un certain temps Elisabeth a l impression que Marc se concentre plus sur sont travail et la délaisse. Marc à fonder une boite de pub avec son meilleur ami Pierre et Elisabeth a fini ses études au barreau et est maintenant avocate. Bien qu’elle gagne beaucoup plus que Marc cela ne la jamais déranger car elle est une femme qui aime avoir le control et gagner. Elle va au gym deux fois semaine et aime prendre soin de son corps et le contempler. Pour la décrire un peu ces une femme de petite taille pas trop grande un bonnet c et des fesses bomber mais ferme.

Cette semaine alors qu’elle était devant juge et jurer pour sont plaidoyer et qu’elle n n’avait pas mis de petite culotte sous ca toge. Elle senti l excitation monter en elle a l idée de se pavaner devant toutes ces personnes qui ignorais qu’elle ne portait pas de dessous féminin sous sa toge et soudain elle senti ca petite chatte se remplir de liquide, elle du prendre quelques seconde de pause afin de reprendre sont souffle tellement elle était excité.

Aujourd’hui pendant son heure de lunch elle eu l idée d envoyer un texto a Marc pour l inviter a l hôtel, elle lui expliqua qu’elle allait prendre une douche se préparer et l attendre nue, a genoux et les yeux bander et comme a la cour cela l excitais terriblement de ne pas voir qui la regardais et quelle partie de son anatomie il regardait. Pendant se temps au bureau Marc avais laissé sont portable sur sont bureau par ce qu’il avait une envi pressante et étais parti au petit coin immédiatement. Pierre qui cherchais kuşadası escort des papiers urgent entra dans le bureau de Marc et voyant le téléphone clignoter sur le bureau ne pu s empêcher de l ouvrir et lire le message qui ne lui étais pas destiner. Il avait toujours été attiré par Élisabeth mais comme elle sortait avec sont meilleur ami il était toujour rester dans l ombre.

Comme elle avait fixé le rendez vous a Marc a 16h et qu’elle n n’aimait pas les retard et étais très ponctuel il décida de se présenter a l’hôtel a 15.30h il ne pensa même pas a Marc qui se présenterais a 16h il n avais qu’une idée la voir a genoux toute nue devant lui. Lorsqu’ il arriva a l hôtel il monta a la chambre il découvrir une porte entrouverte Élisabeth avais placé un soulier pour la garder entrouverte, délicatement il poussa la porte et découvrir Élisabeth toute nue et a genoux par terre au pied du lit. Il entra et Élisabeth qui entendu le bruit de pas se crispa soudainement sont souffle étais comme saccader elle avait du mal à respirer bien qu’elle sache que c étais sont mari qui étais avec elle dans la pièce.

Pierre défi sa ceinture et enleva sont pantalon puis son caleçon il n étais vêtu que d une chemise cravate devant cette superbe créature qu’il convoitait depuis longtemps. Prenant quelque instant pour admirer son corps nue il s approcha doucement d elle et mis sont membre dresser et dur comme il ne l avais jamais senti devant ses lèvres entrouverte. Élisabeth qui croyais que son mari se trouvais devant elle et sentant son membre devant ses lèvres entrouvrir la bouche afin qu’il puisse y pénétrer, il y avait quelque chose de différent, peut être l excitation de ne pas le voir

Il regardait kocaeli escort son membre s engouffrer dans cette bouche humide et senti sa petite langue tournoyer sur son gland, elle commença à faire un mouvement de va et vient et pierre sentais l excitation monter dans sa queue. Déjà une demi heure c étais écouler et Marc arrivais a la porte de la chambre ou Pierre se fais sucer. Pierre avais oublié de retirer la chaussure qui retenais la porte de la chambre ouverte, et Marc regarda a l intérieur pour y voir sa femme a genoux qui suçais un étranger, mais au lieu de la colère il ressenti un immense plaisir à voir sa femme prendre le membre d un inconnu dans sa bouche. Il entra doucement et resta prés de la porte sans dire un mot comme pour ne pas les déranger, mais Pierre entendis un bruit et se retourna il vit Marc qui les regardais, il avait les mains dans les cheveux d’Élisabeth et lui tourna doucement la tête de façon a se que Marc voit sont membre bien dur dans la bouche de sa femme. Marc décida de se rapprocher un peu du spectacle qui s offrais a ses yeux.

Ces alors que Pierre aida Élisabeth à se relever et la poussa doucement, Élisabeth leva les mains pour enlever son bandeau, mais Pierre poussa sur ses bras et ses alors que Marc lui ne l enlève pas tout de suite attend que je te le dise et Pierre la poussa délicatement sur le lit et elle se retrouva coucher sur le dos devant les deux hommes. Pierre écarta délicatement ses jambe et descendit sa bouche contre sa chatte mais sans lui toucher, elle pouvait sentir le souffle chaud de sont mari et soudain elle senti une langue frôler ses lèvres de bas en haut et effleurer sont petit clito déjà elle mouillait abondamment. Puis la langue se mis konya escort à entrer, sortir et se promener dans tout les sens sur ca chatte. Élisabeth n avais jamais rien ressenti de pareille c est comme si il la découvrait pour la première fois sa bouche avais un appétit vorace. Elle était tellement concentrer sur cette bouche qu’elle ne s aperçu pas que quelque un d autre lui attrapais les jambes pour lui monter et les ouvrir complètements afin que Pierre puisse bire tout son jus et ce désaltérer. Pierre pris alors son membre et le plaça a l entrée de la chatte d’Élisabeth, c est alors qu’elle s’aperçu qu’un autre lui tenais les jambes. Elle se mit à crier et se débattre mais Marc lui enfila sont membre dans la bouche pour la calmer et l empêcher de crier. Quand a Pierre il poussa légèrement mais comme Élisabeth étais déjà tres mouiller il entra jusqu’ au fond sans forcer et Élisabeth figea en sentant cette envahisseur dans sa petite chatte. Marc en profita pour lui baiser la bouche, pendant que Pierre augmentais le rythme au fur et à mesure que sont désir montais.

Les deux hommes retournaire délicatement Élisabeth pour la mettre a quatre pattes et Pierre et Marc se réintroduire très rapidement Pierre dans sa chatte et Marc dans sa bouche, mais cette fois Marc qui voyais son ami fourrer sa femme devant lui poussa son membre dans la gorge de sa dulcinée pendant que Pierre lui s enfonçais de plus en plus vite et profond. Marc poussa une dernière fois tout au fond de la gorge et Élisabeth senti un liquide couler et descendre jusqu’ a sont estomac. C est alors qu’ elle se mis a convulser et elle eu le plus gros de tout les orgasme qu’ elle n avais jamais eu elle senti Pierre entrée le plus profond qu’ il le pouvais pour décharger sa semence tout au fond de son ventre et elle eu une autre orgasme . Marc décida d enlever le bandeau d’Élisabeth et quand elle aperçu Marc devant elle ne pu s empêcher de se retourner et découvris Pierre encore en elle en train se finir de se vider sans capote dans sa petite chatte

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Les aventures de Karla 03

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Préambule:

Mes précédentes introductions semblent avoir été ignorées, malheureusement.

Dommage d’avoir beaucoup de lecteurs et peut-être lectrices mais aucun commentaires.

Dans ce contexte voici la 3eme partie. Il,n’est pas sur par contre que la suite suive sauf si j’ai enfin un retour aussi critique soit-iĺ (mais constructif).

Merci d’avance pour votre participation.

————–

Karla a un sommeil très agité. Elle a peur de l’engrenage dans laquelle elle est tombée mais elle est aussi excitée d’être traitée comme un objet sexuel.

Le pire c’est qu’elle aimerait bien se masturber à s’en faire jouir, mais son mari est là incapable d’imaginer ce qui se trame.

Le matin Karla est sur les nerfs. Elle est d’une humeur massacrante ce qui lui permet de voir son mari quitter tôt la maison afin de ne pas subir la mauvaise humeur de sa femme. Et puis arriver plus tôt c’est aussi pouvoir reluquer tranquillement la jeune standardiste et ses minijupes raz la moule.

Elle est enfin libre. Libre mais effrayée de ce qu’il attend. En tout cas elle va y aller, par curiosité, pour l’adrénaline et pour se faire sauter car c’est plutôt rare et triste avec son mari.

Par contre c’est décidé Karla ne se rasera pas. Qui est-il ce Luc pour demander cela?

Elle est convaincue qu’il la sautera quand même surtout si elle s’habille très sexy pour ne pas dire comme une chaudasse.

Elle opte pour une jupe plissée et un chemisier crème en soie. Dessous, elle choisit un bel ensemble rouge en dentelle. Flashy et transparent. Malheureusement Karla un tantinet frileuse se résout à mettre un collant.

S’il me le déchire ce n’est pas trop grave, il sera ravi du reste pense-t-elle.

Pour Karla, le jeu sage au-dessus et érotique en dessous lui paraît approprié, mais inconsciemment elle révélait plutôt son état d’esprit : l’écolière face à son maître.

Karla voit l’heure, elle se presse car elle va être en retard. Au diable le maquillage de toute façon Luc est plus intéressé par son cul.

Après 30 minutes de conduite, Karla gare sa voiture dans un quartier quelle ne connaît guère. Faut dire que ce n’est pas le lieu le plus touristique de la ville.

Elle trouve enfin le fameux restaurant. Elle a une certaine appréhension car elle est en retard et puis ce restaurant n’est pas très accueillant, c’est plutôt un bistrot de quartier sans prétention.

Elle entre. Il y a 2 3 clients au bar avec le patron semble-t-il. Elle continue son chemin et au fond, à l’écart du reste de la salle elle retrouve Luc.

Adossé à une chaise, Luc lève la tête et observe narquois Karla.

Luc : Alors la salope on est venu, mais en retard!

K : Pardon j’ai eu du mal à trouver.

L : Ce n’est pas mon problème. Viens ici!!

Luc se lève d’un coup et sans ménagement prend le bras pour tirer Karla à lui. De son autre main il la prend par les cheveux et l’oblige à écraser sa bouche contre la sienne. Il lui roule un patin sans aucune tendresse.

Karla est hypnotisée par sa rudesse. Elle sent l’autre main passer sous sa jupe et remonter sans ambages sur ses fesses. Elle se laisse kahramanmaraş escort faire. Elle en a envie. Elle …. Mais tout à coup Luc la repousse.

L : qu’est ce que c’est que cela?

K : un collant … j’avais froid.

L : les collants c’est pas pour les salopes de ton espèce. Toi c’est bas et porte jarretelles.

K : mais je n’en n’ai pas.

L : Tu en achèteras ou tu demanderas à ton mari. En attendant retire le immédiatement avant de t’asseoir.

Karla a le feux au joue. Elle doit retirer son collant dans la salle du restaurant. Certes il n’y a quasiment personne mais si quelqu’un arrivait. D’un autre côté elle sait ce qui lui en coûte de ne pas obéir. Alors elle se lance relève sa jupe plissée et descend d’un coup le collant.

Quelques secondes plus tard elle est assise devant son tortionnaire. Celui-ci appelle le patron Franck comme elle l’apprendra plus tard.

Il commande pour elle sans lui laisser la parole un plat de spaghetti. Karla ne sait quoi dire.

Le patron la scrute avec un regard vicieux. Elle le sent bien même si elle n’ose pas le regarder dans les yeux. Luc s’en aperçoit et se délecte de sa gêne.

Une fois Franck reparti, Luc ordonne a Karla de partir aux toilettes pour retirer ses dessous.

Karla se précipite excitée à l’idée de revenir cul nul et manger à côté de son maître chanteur ou tout simplement maître. Son sexe est moite, ses seins durs comme la pierre. Son chemisier expose si bien son état d’esprit qu’elle revient le visage rouge, d’autant qu’elle a en main ses dessous.

L : étale ta culotte et ton soutif sur la table.

K : Ici?

L : tu veux aller les donner au Patron autrement?

K : Non non!!!

L : Pour ta peine tu vas aller voir Franck et lui dire que j’ai faim.

Karla, embarrassée va voir le Patron et lui répète les propos de Luc.

Ils sont seuls désormais, les clients du bar ont déserté le lieu, ce qui détend un peu Karla.

Karla revient avec Franck qui tient les plats. Karla s’apprête à s’asseoir quand Luc lui ordonne de rester debout.

Il demande à Franck de poser le plat de pâtes sur sa chaise, puis lui fait admirer les dessous de Karla.

Karla ne comprend pas ce que trame Luc. Ses seins pourtant pointent avec véhémence.

L : Karla mange ton plat de pâte.

K : Mais comment.

L : Comme la grosse truie que tu es, jambes écartées et tu te penches. Tu manges uniquement avec ta bouche pas besoin de couverts pour la grosse cochonne que tu es!!!!

Franck est hilare tout comme son acolyte Luc.

Karla se sent humiliée de devoir s’avilir devant une deuxième personne. Mais ses seins restent durs et sa vulve est si moite.

Hésitante, Karla reçoit une sèche claque sur son cul. Elle vient de Franck qui ne s’est pas fait prié après les dires de Luc demandant de brusquer un peu la petite chienne ici présente.

Karla s’exécute et se positionne en une sorte de L inversé. Sa jupe remonte au raz de son cul, mais ce n’est pas suffisant pour Luc.

L : Franck remonte lui la jupe au-dessus de son gros cul de vicelarde.

F : Avec joie.

L kastamonu escort : Tu sais que cette à priori bourgeoise a voulu me voler des dessous au supermarché!!! Et imagine qu’elle a pris plaisir à être punie!!!

F : c’est une sacrée salope que tu as trouvé.

L : on va voir cela. Karla t’es tu rasée la chatte comme je te l’ai dis?

K : non monsieur … à cause de mon mari vous savez …

L : tutututut … nous verrons si dans quelques temps tu n’as pas la moule lisse. En attendant c’est Franck qui va te sauter car je ne te baiserai pas tant que tu n’auras pas déforesté ton minou.

Dans tous les cas je ne veux pas d’explication qui s’apparentent à des excuses. Si tu es là c’est parce que tu es une grosse cochonne qui veut se faire défoncer, n’est ce pas?

K : Oui Luc.

L : Monsieur on dit Monsieur Luc!!!

K : Oui Monsieur Luc.

L : Franck ma truie a besoin d’une leçon. Prends cette fourchette!!!

F : Que veux tu que j’en fasse?

L : Puisque ma truie Karla se passe de fourchette et couteau, autant que cela serve à quelque chose. Au lieu de lui claquer ses grosses miches comme j’avais l’idée à l’origine, tu vas lui piquer le cul avec la fourchette pour qu’elle s’active dans ses taches. Comme cela elle va finir son plat rapidement … dans un premier temps!!!

Karla sans oser répondre, commence à manger avec précaution.

Les dents de la fourchette viennent rapidement pincée sa peau blanche. Elle oublie vite sa précaution initiale de manger doucement pour ne pas tacher son chemisier.

Mais cela n’a pas l’air suffisant et Franck se décide de m »langer les claques qui sont de plus en plus fortes avec les coups de fourchettes.

Ses fesses virent au rouge parsemées de points rouges foncés. Ce restaurateur n’y va pas avec le dos de la cuillère.

Malgré la douleur du moment Karla en retire du plaisir un plaisir confus et très embarrassant car il se voit. Ses nichons durcissent à vue d’œil et sa chatte dégouline.

Tout est confus dans sa tête, manger se faire fesser pincer et y prendre un plaisir sexuel.

D’un coup Franck lui écrase le visage dans le reste de pâtes, en lui braillant à l’oreille qu’il aime les bonnes cochonnes qui exposent leur croupe ainsi.

Sans attendre il sort sa bite et la pénètre d’un trait. Son sexe est tellement lubrifié que Franck n’a aucun problème à aller et venir. Il alterne claque sur ses fesses, piqûre vive de la peau avec les dents de la fourchette de manière brutale.

Karla elle lorsqu’elle ose lever la tête, se retrouve quasiment nez à nez avec Luc qui lui rappelle qu’elle traînée elle est pour se faire prendre ainsi en plein milieu d’un restaurant.

Franck finit de se secouer dans le vagin et sort sa bite pour mieux exploser sur sa jupe.

Luc ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits. Il la force à se coucher dos sur la table. Lui fait écarter les jambes et lui ordonne de faire des tresses avec les poils de sa chatte.

De l’autre côté sa tête penche dans le vide. Une position manigancée par Luc qui offre son manche à sucer son manche.

Long kayseri escort et épais, Karla a du mal a le prendre en entier. Involontairement elle bave pour pouvoir l’avaler. Quelle chienne elle fait , pense t’elle. Jamais elle n’a osé sucer son mari aussi goulûment.

Luc passe en mode actif et utilise la bouche de Karla comme un vulgaire trou. Il la traite de garage à bite, de truie, de pipeuse …

Cela l’excite. Et elle crie quand Franck lui claque l’intérieur des cuisses pour se rappeler qu’elle a une autre tache … faire des tresses .

Luc se remet à la baiser et décide d’ouvrir un nouveau champ de douleur. Il prend avec ses deux mains les tétons de Karla qui dardent fièrement et les fait vriller d’un coup sec.

Sa bouche lache le sexe de Luc. Abandon qui devient un prétexte à Luc pour cette fois-ci tirer le plus haut possible les nicons de Karla à partir de ses tétons.

Elle se cambre pour limiter la douleur mais oublie de s’activer sur sa chatte.

Franck lui tire alors les poils encore non tressés et frotte avec vigueur son clitoris enflé.

C’en est trop, elle soubresaute, ses lèvres deviennent une véritable ventouse sur la bite de Luc.

Elle explose enfin elle jouit bruyamment comme jamais elle ne s’était autorisée à le faire avec ses précédents compagnons.

Luc lui aussi n’y tient plus, mais il veut une nouvelle fois humilier sa proie. Il sort sa bite et secoue son membre pour éjaculer massivement sur le chemisier de Karla au niveau des nibards.

Épuisée Karla ne peut que constater l’état de son chemisier et de sa jupe. Ils sont maculés de sauce tomate et de sperme.

Luc la fait descendre de la table puis lui remonte la jupe pour lui montrer devant un pseudo miroir accroché au mur sa chatte agrémentée de multiples monticules de poils.

De son côté, Franck qui s’était absenté quelques instants, revient avec de la super glue.

Karla sursaute mais n’ose bouger de peur d’un mauvais geste.

L : Tu as raison Franck on va figer ses tresses comme cela elle devra expliquer à son mari pourquoi cette foufoune ainsi coiffée. Tu es d’accord avec cela ma pouliche?

K : non pas cela j’avalerai tout votre sperme à chaque fois.

L : pas suffisant ma truie. Vas-y Franck colle!!!

Désarmée Karla voit Franck figer ces tresses. Elle se projette déjà pour savoir quelle excuse donner à son mari.

Franck tire sur certains amas de poils pour s’assurer que sont œuvre va durer.

Luc rabaisse la jupe sur le cul de sa salope puis passe sa main sur le visage de Karla.

L : tu peux rentrer chez toi maintenant.

K : dans cette tenue et état.

L : cela te va bien ma pouliche. Mais si tu veux va chercher un verre d’eau pour que je t’aide à laver ton chemisier. Dehors ils penseront que tu sors d’une compétition de T shirt mouillé. Tu veux cela?

K : Non merci Monsieur.

L : bon, je te revois alors dans 3 jours au supermarché. Je veux la même tenue mais sans le collant et sans manteau.

Karla sort du restaurant et se précipite à sa voiture. Sa jupe vole au vent et laisse deviner son cul. Karla ne s’en préoccupe pas car les taches de spermes mises en valeur par la sauce tomate sont elles autrement plus avilissantes.

Dans le chapitre 4 Karla se rasera t’elle ou reviendra t’elle avec des tresses?

Quelle excuse va-t-elle donner à son mari?

Ira-t-elle au Supermarché avec en dessous des bas et soyons fou un porte jarretelle?

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Le chantage de Summer 17

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Anal

Ceci est une FICTION avec chantage et contrainte. Je remercie l’auteur original Wilcox010 de m’avoir permis de la traduire.

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Le sex-shop est situé dans un quartier commerçant bas de gamme avec salon de tatouage, salon de beauté, magasin de lingerie, Théâtre pour adultes et quelques magasins de meubles à prix réduit. Bill FRASER est propriétaire de l’immeuble où se trouve le sex-shop depuis plusieurs années. Lorsque l’ancien locataire n’a pas pu payer ses loyers il a repris le magasin. Il lui a même fait des menaces verbales indiquant qu’il pourrait intervenir physiquement si le locataire ne déménageait pas dans les temps.

Bill travaille dans le commerce des articles pour adultes depuis près de quinze ans. Il était autrefois de l’autre côté de la ville. Mais cet endroit est beaucoup mieux. Il y a une faible criminalité et la clientèle est de classe supérieure à celle qu’il avait auparavant. Bien sûr, il y a toujours certains clients bizarres qui sont le lot de telles entreprises, mais il avait toujours trouvé le moyen d’éloigner ce genre de clients de son commerce.

Bill FRASER est un homme très grand. Il mesure plus d’1m90, il a des cheveux blonds, une barbe de deux jours et il pèse 120 kilos. C’est un ancien joueur de football de haut niveau qui a gardé de nombreux contacts et est connu pour gérer beaucoup de biens immobiliers. C’est dans ce secteur qu’il a remarqué qu’il pouvait rendre service à des personnes hautes placées qui lui faisaient confiance pour être discret. En contrepartie, il pouvait profiter de transactions avantageuses et de saisies dans la région.

En raison de ses relations immobilières, on demandait de temps à autre à Bill de fournir des femmes à certains hommes en visite en ville. Le plus souvent ces hommes aimaient les femmes soumises, les femmes qui faisaient ce qu’on leur disait de faire, quand on leur disait de faire et sans aucunes plaintes. Bill suppose que ces hommes veulent se sentir aussi puissants dans une chambre que dans leur entreprise.

Au fil des ans, Bill fut en mesure de trouver des femmes de qualité pour répondre aux demandes de ses amis. Avec internet, Bill pouvait facilement identifier les femmes qui étaient de bonnes candidates pour être soumises, ces femmes étant le plus souvent mariées et femmes au foyer qui s’ennuyaient. L’écurie de Bill était variée. Il avait actuellement deux récentes diplômées du secondaire qui travaillaient pour lui dans son salon de bronzage au bas de la rue. Il avait aussi trois femmes mariées qui aimaient baiser et s’amuser de temps en temps. Il avait également deux salopes sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre à son service qui vivaient dans un de ses appartements en centre-ville.

Il lui avait fallu plusieurs mois pour soumettre complètement ces deux femmes. Une femme était mariée lorsqu’il l’avait trouvé en ligne sur le site « Femmes en manque de sexe ». A l’époque elle cherchait seulement à s’amuser, mais elle était la candidate parfaite pour être pleinement soumise. Sa transition vers une salope à part entière ne prit que deux mois et sa transformation en esclave à plein temps est l’une de ses meilleures réussites. Son autre salope à temps plein est une ancienne femme de chambre qu’il avait embauché comme concierge. Mais elle est en situation irrégulière. Il a donc été très facile de la faire chanter, car elle avait peur d’être expulsée.

Bill travaille actuellement sur une autre femme, mariée et agent immobilier. Lisa va être pour lui un défi, mais il a l’impression d’avoir identifié chez elle des besoins de servitude, même si elle domine les femmes qui travaillent pour elle.

Et maintenant, son protégé, Todd SPILLERS, lui livre une enseignante qu’il a découverte sur le site « Femmes en manque de sexe ». Cette femme s’est déjà soumise aux diverses demandes de Todd qui a su bien manœuvrer pour faire chantre sa professeure. Le garçon a montré à Bill toutes les photos qu’il a prises de Summer WAYNE dans différentes positons et situations. Bill lui avait recommandé d’emmener Summer chez Marco pour lui faire poser des piercings. Bill possède le bâtiment et Marco lui doit beaucoup de services.

Quand Summer arrive devant la porte du sex-shop, elle a la chair de poule. « Qu’est-ce que je fais ici? » se demande-t-elle en poussant la porte pour entrer dans le magasin.

Bill FRASER se tient derrière le comptoir et il voit la belle brune mature franchir le seuil du magasin. Elle est encore plus superbe que Todd ne l’avait décrit. Ses seins étaient bien visibles, car le chemisier qu’elle porte n’a plus que deux boutons et ses gros seins tendent les pans du pauvre vêtement. La jupe moulante est fendue jusqu’à mi-cuisse et sa tenue est complétée par des chaussures noires à lanières avec des talons de dix centimètres. Sandy avait appelé Bill pour lui dire que l’enseignante n’avait que sa jupe et son chemisier. Elle lui a dit aussi qu’elle l’avait baisée avec le gode-ceinture, mais qu’elle ne lui avait pas permis de jouir.

Lentement, les yeux de Summer s’adaptent hatay escort à l’espace sombre. A l’intérieur du magasin se trouvent des lumières rouges, vertes et blanches qui clignotent. Elles sont reflétées par des miroirs posés contre les murs. L’enseignante regarde les étagères couvertes de films porno et de magazines X que James rapporte parfois à la maison. Elle voit aussi un panneau au-dessus d’une porte indiquant que des cabines vidéos se trouvent dans une autre pièce. Elle regarde attentivement autour d’elle jusqu’à ce qu’elle trouve le comptoir. Elle est surprise de voir un beau et grand homme derrière. Summer a toujours pensé que ces endroits étaient sordides et que quiconque tenait ce genre de magasin devait être également sordide.

Lentement, elle s’approche du comptoir en regardant l’homme derrière. Elle a l’impression que celui-ci la déshabille du regard. Ses talons noirs cliquettent sur le sol du magasin alors qu’elle avance. Cela attire l’attention des sept clients qu’elle vient de compter en regardant à travers les étagères de films X.

Bill a du mal à trier ses pensées. Il se demande comment un garçon de 18 ans a pu forcer une professeure d’anglais à l’université de devenir sa salope. Mais Bill voit tout de suite que Summer a l’étoffe de devenir une salope 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Il aurait aimé la trouver en premier. Mais bien qu’il fasse partie d’un monde peu scrupuleux, il ne peut se permettre d’empiéter sur les terres de l’un des fils de son meilleur client. Il va être honnête et donner à cette femme la formation que Todd avait demandée, puis il la renverra de sa boutique au plus tard à 19H50.

Bill regarde les seins de l’enseignante rebondir alors qu’elle s’approche du comptoir. Il remarque qu’elle ne le quitte pas des yeux et qu’elle fait ce qu’on lui avait dit, ce qui est un bon indice de sa soumission. Il la regarde et lui demande alors :

– Êtes-vous perdue Madame?

Summer reste immobile, ne sachant que dire. Elle avait espéré que l’homme saurait pourquoi elle était là et qu’elle ne devrait pas avoir une longue conversation avec lui. Elle regarde l’homme et dit :

– Monsieur, j’ai été chargé de vous donner cette liste.

– Qui vous a demandé de faire ça Madame? Demande Bill.

Summer est dans une telle situation qu’elle n’est pas prête à discuter avec un inconnu. Alors elle essaie de répondre le plus vaguement possible :

– Mon mari est en voyage et j’ai pensé que ce serait une bonne idée d’acheter ces articles en prévision de son retour imminent.

Summer tend lentement la liste à l’homme derrière le comptoir. Bill prend son temps pour déplier le morceau de papier et il sourit en voyant ce qu’il y a sur la liste. Il avait déjà fait ça quand Todd lui avait présenté sa salope Abby. Elle avait été très facile à briser, mais elle avait une tendance de dominante avec les femmes. Toutefois Abby aimait plaire aux hommes c’était sûr.

Todd lui avait envoyé les photos qu’Abby avait prises au restaurant avec Lisa, l’agent immobilier. C’était la première interaction entre une des salopes de Todd et une de ses salopes en devenir. Bill estime alors que Lisa risque d’être problématique pour Todd et Summer, donc il devra forcer Lisa à ne plus s’en occuper.

Il regarde Summer. Il voit que sa poitrine se soulève et il parie que ses paumes sont humides. Enfin il dit :

– Comment vous appelez-vous Madame?

– Qu’importe mon nom! J’ai juste besoin des articles sur cette liste. Allez-vous m’aider ou non? Répond courageusement Summer.

– Bon, premièrement tu viens dans mon magasin habillée comme une salope et tu me racontes un tas de conneries sur ton mari. Rétorque Bill.

Puis il continue :

– Deuxièmement, je pense que tu agis sur les instructions d’un homme dominant à qui tu veux plaire. Donc je te le demande une nouvelle fois, quel est ton nom, salope?

– Je ne vois pas en quoi ça fait une différence pour vous. Je suis ici pour acheter ces articles et si vous ne voulez pas m’aider, alors je devrais simplement aller ailleurs. Déclare Summer en espérant montrer qu’elle contrôle la situation.

– Eh bien salope, je ne crois pas que tu puisses aller ailleurs. En bas de cette note il est marqué que tu dois acheter ces articles ici. Alors salope, as-tu été chargée de venir dans mon magasin et de me remettre cette liste?

Prise au piège, Summer ne peut que répondre :

– Oui, on m’a dit de venir ici.

Bill dit alors froidement :

– Tu vois, ce n’est pas dur à dire. Donc maintenant dis-moi ton nom, salope!

Summer lui obéit et lui donne son nom. Puis elle lui demande de l’aide pour la liste. Elle devient nerveuse en voyant du coin des yeux que les clients du magasin ont commencé à se rapprocher. Elle peut sentir leurs regards sur elle. Un homme ose même la frôler en passant près d’elle.

– Bon Summer, tu n’as pas été très honnête avec moi et tu ne m’as pas dit qui t’avais envoyé ici aujourd’hui. Dit Bill.

L’enseignante est piégée. Cet inconnu ığdır escort l’interroge et les aiguilles de l’horloge s’approchent de plus en plus de 20h00. Elle ne veut pas être en retard pour retourner au salon de bronzage, car elle ne veut pas que ses affaires soient jetées au milieu du parking.

– S’il vous plaît, pouvez-vous m’aider pour mes achats et ne plus me poser de questions. Demande-t-elle.

– Cette liste est très spécifique. Il me semble que la personne qui l’a établi est quelqu’un à qui vous devez plaire ou lui faire plaisir. Alors qui est-ce Summer? Questionne encore Bill.

– c’est quelqu’un qui m’oblige à acheter ces objets. Avoue-t-elle.

– C’est une bonne première réponse, mais ça ne me donne aucune indication sur le genre d’homme qui vous force à venir dans mon magasin et à acheter une liste d’articles très érotiques. Alors dites-moi qui vous a envoyé? Ordonne Bill bruyamment.

– S’il vous plaît, aidez-moi! Supplie Summer.

– Fous le camp de ma boutique, salope! Crie Bill.

Il y a sept clients dans le sex-shop, ils écoutent attentivement l’échange. Ils sont tous excités par cette femme sexy debout devant le comptoir de Bill. Ils se disent que c’est juste une de ses salopes avec laquelle il s’amuse aujourd’hui. Mais plus ils regardent et plus ils écoutent, plus il devient évident qu’il s’agit d’une nouvelle femme. Chacun regarde son cul et essaie de voir sa poitrine à travers le tissu du chemisier.

– S’il vous plaît, ne me mettez pas dehors! Je dois acheter ces articles aujourd’hui ou j’aurais de gros ennuis. Supplie encore Summer.

Bill lui répond une fois de plus méchamment :

– Écoute salope, soit tu me dis qui t’a envoyé ici, soit tu te casses!

Summer est coincée. Elle ne voit pas d’autre solution pour se sortir de cette situation que d’être honnête et de dire à l’homme derrière le comptoir ce qu’il veut savoir. Cette position la tient sur les nerfs. Le fait qu’elle soit dans ce genre d’endroit et qu’elle soit forcée d’y être ont le même genre d’effet que les instructions et ordres de Todd. Elle sent sa chatte s’humidifier, mais elle ne comprend pas pourquoi. Son sexe lui fait encore mal à cause du gode-ceinture de Sandy au salon. Ses tétons pointent contre le chemisier et elle sait que ses piercings les font ressortir sur le tissu. Elle rassemble alors son courage et dit :

– Mon Maître m’a demandé de venir dans votre magasin pour acheter les articles de cette liste.

Bill décide de continuer à lui mettre la pression :

– Alors, ce n’était pas si dur, salope. Mais tu ne me l’as pas demandé poliment et tu ne m’as même pas demandé mon nom.

Summer répond rapidement :

– Je suis vraiment désolé d’être impolie, mais je suis mal à l’aise dans ce magasin. Je suis nerveuse, car je ne suis jamais venue dans un tel endroit de toute ma vie. Pouvez-vous me dire votre nom?

– Oui bien sûr, je suis Bill FRASER et je suis propriétaire de ce magasin ainsi qu de l’immeuble. Vous pouvez m’appeler Monsieur si vous voulez mon aide. Répond Bill.

– Monsieur, pourriez-vous s’il vous plaît m’aider pour ls achats de cette liste. Supplie Summer.

– As-tu une idée de ce qui se trouve sur cette liste, salope? Demande Bill.

– Non Monsieur, je ne sais pas!

– Va dans la pièce à gauche de ce comptoir, derrière le rideau de perles. Le premier élément de la liste est un bandeau. Tu en choisiras trois et je te rejoindrai dans quelques minutes pour t’aider. Dit Bill.

Summer se dirige vers la pièce indiquée. Elle est mal à l’aise, car les sept hommes dans la boutique se sont rassemblés près du comptoir et ont sûrement entendu sa conversation. Elle écarte les perles multicolores en étant contente que personne ne la suive. Elle entre dans la pièce et commence à regarder les murs à la recherche des bandeaux dont l’homme lui a parlé.

Elle est étonnée de tous les objets qui sont dans cette pièce. Sur le mur à la gauche de la porte, elle voit un large éventail de fouets, de raquette en bois, de gants en cuir, de laisses, de chaînes, de pinces et d’autres objets dont elle n’a aucune idée de leur utilité. Sur le plus grand mur, elle voit une vaste sélection de godes, vibromasseurs, plugs anaux dans différentes tailles. Elle voit aussi des harnais avec gode et plusieurs appareils sans fil un peu comme l’œuf vibrant qu’elle avait. Le mur du fond contient divers types de costumes à porter pour des évènements érotiques ou bizarres. Ils sont vraiment trop sordides et révélateurs pour que Summer puisse même penser à les porter.

Sur le dernier mur Summer trouve une grande variété de bandeaux pour les yeux, de masques en cuir, de nombreux types de menottes, des barres d’écartement, des écarteurs, des pinces à tétons, des pinces pour clitoris, des anneaux péniens, des dispositifs pour choquer, des lubrifiants variés. Mais ce que Summer trouve déplacé sur ce mur c’est le choix de robes courtes très étroites aux couleurs vives, le genre de robes que portent les prostituées dans la rue.

Au ısparta escort centre de la pièce, l’enseignante voit aussi un poteau en bois de la taille d’un poteau téléphonique de campagne. Sur toute sa longueur, du sol au plafond, il y a des pinces, des crochets et des chaînes. Summer s’inquiète quand elle le voit, elle a peur pour sa sécurité. Et elle se demande à quoi il peut servir dans cet espace public.

Elle s’approche du mur contenant les bandeaux et elle les étudie tous pendant un petit moment. Elle n’est pas pressée, car Bill n’est pas encore là. Elle peut l’entendre parler avec les autres clients.

Elle se décide pour trois bandeaux : un noir avec une bordure léopard, un en satin noir et un bandeau violet foncé qui s’enroule presque complètement autour de la tête avec une fermeture derrière alors que les deux autres avaient des fermetures velcro.

Puis Summer attend au milieu de la pièce, près du poteau, mais sans le toucher. Elle soulève sa jambe gauche et se balance sur le talon de ses escarpins noirs. Elle se demande combien de temps elle va devoir encore attendre dans cette pièce, car elle est mal à l’aise avec son contenu. Et elle s’inquiète des hommes qui sont juste à l’extérieur.

Elle regarde nerveusement l’horloge sur le mur qui indique 18H00. Elle sait que son temps est limité et elle ne veut pas arriver au salon de bronzage après 20h00. Elle tape nerveusement du pied sur le sol en linoléum. Elle remarque alors une odeur de désinfectant comme celui qu’elle utilise chez elle pour un nettoyage en profondeur.

C’est à ce moment que Bill entre dans la pièce avec deux des hommes qui se trouvaient dans la boutique.

– M’attends-tu patiemment salope? Demande Bill à l’enseignante manifestement nerveuse.

– Oui Monsieur, je suis patiente, mais pourquoi ces hommes sont-ils avec vous? Je croyais que nous resterions en privé. Demande Summer.

L’homme répond rapidement :

– Ces hommes sont des clients réguliers. Ils dépensent beaucoup d’argent avec moi et nous investissons ensemble dans l’immobilier. Alors je profite de leur présence ici pour leur montrer comment certains objets de cette pièce peuvent être utilisés sur une salope consentante. C’est une chance que tu sois entrée dans ma boutique alors qu’ils sont là.

– Mais Monsieur, pouvez-vous leur demander de partir pour que je puisse acheter les articles sur la liste et être de retour au salon de bronzage avant 20 heures. Supplie Summer.

Sans lui répondre, Bill se dirige vers elle et lui prend les bandeaux des mains. Il les tient devant le visage de la professeure pour voir l’effet que ça peut avoir sur elle alors qu’il y a d’autres hommes dans la pièce. Bill sait que ça énerve encore davantage la soumise de Todd. Il sait qu’il lui reste peu de temps pour jouer avec elle, mais il sait aussi qu’il faut qu’elle comprenne pleinement qu’elle n’est plus qu’une salope et une esclave de l’étudiant. Il faut lui apprendre que son corps, ainsi que son esprit sont des instruments de servitude envers son maître.

Bill choisit le bandeau violet qui s’enroule entièrement autour de la tête avec un fermoir. Il demande à Summer de le mettre. Quand celle-ci hésite, Bill gifle violemment la pauvre enseignante avec sa main droite. Elle trébuche ne arrière et manque de tomber, mais le poteau au milieu de la pièce la retient.

Avec des mains tremblantes et la joue piquante de douleur, Summer lève lentement le bandeau à ses yeux pour les couvrir complètement. Elle lève les deux bras au-dessus de sa tête pour essayer de l’attacher, ce qui fait soulever ses seins et tendre le tissu du chemisier. Finalement elle réussit à mettre complètement e bandeau en place. Son monde est plongé dans les ténèbres. Elle baisse ses bras sur le côté. Elle sait que Bill et les autres hommes sont toujours dans la pièce, mais elle se demande si les autres clients ne vont pas maintenant les rejoindre.

– Très bien salope! Maintenant lève les mains au-dessus de ta tête et pose-les derrière le poteau : ordonne Bill.

Summer obéit avec hésitation. Elle s’efforce de se calmer. Elle sait qu’elle est dans un mauvais endroit et dans une mauvaise position. Mais quelque chose chez cet homme fait que sa chatte s’humidifie et elle peut sentir ses mamelons durcir. En saisissant le poteau, elle peut sentir ses seins pousser le tissu de son chemisier. Elle craint que les boutons ne sautent.

Mais elle s’inquiète pour rien. Elle sent des mains sur son chemisier et elle comprend que les boutons sont enlevés, mais elle ne sait pas par qui. Une fois déboutonné, son chemisier s’ouvre et révèle sa poitrine, le début du bronzage. Ses seins se soulèvent au rythme de sa respiration.

Bill, debout devant l’enseignante, déchire le chemisier pour pouvoir l’ôter. Immédiatement Summer baisse ses mains pour couvrir ses seins dans l’intention de ne montrer à personne les piercings sur ses mamelons. La réaction du propriétaire du sex-shop est immédiate. Il gifle la professeure sur les deux joues puis il saisit ses mains, les lève au-dessus de sa tête et les accroche dans des fixations en cuir attachées au poteau. Ensuite, Bill prend les piercings entre ses index et ses pouces. Summer gémit de douleur alors qu’il commence à tirer et tordre les tétons encore sensibles e la pose de ces piercings le samedi précédent.

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La guerre des deux frères – Partie 01

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Babes

Post note : ces aventures racontent des événements évoqués dans mon roman à épisodes « Le club ». Cependant, les personnes n’ayant pas lu cette précédente production qui dans la chronologie se situe entre 10 et 15 ans après les aventures que je vais vous raconter, peuvent très bien lire celle-ci sans se sentir perdues ; elles manqueront seulement certaines références et clin d’œil que je ne manquerais pas de glisser.

PROLOGUE.

L’homme s’arrêta un instant devant l’entrée du cimetière pour remonter le col de sa veste afin de s’assurer de recouvrir au mieux son visage. Même à une heure aussi tardive, il ne voulait pas courir le risque d’être reconnu. D’un pas décidé, il pénétra dans le lieu saint puis navigua dans le labyrinthe d’allées bien entretenues pour finalement bifurquer vers une petite parcelle placée un peu à l’écart. Il se figea alors devant la dalle de marbre recouverte de mauvaises herbes qui indiquaient que personne n’avait visité ce défunt depuis de longues années. Une foule de sentiments contradictoires l’envahit alors et il ne trouva la force s’agenouiller qu’après plusieurs minutes. Une épaisse couche de lierre recouvrait la plaque mortuaire mais le nom restait visible. « Samuel Gradzik » était officiellement inhumé en ce lieu mais le visiteur savait pertinemment que l’homme couché sous cette pierre n’avait jamais porté ce nom. Il revit alors le visage de cet homme si proche de lui et se retrouva projeté plus de 15 années en arrière.

CHAPITRE 1

Djamila commençait à sentir l’épuisement la gagner alors qu’elle entamait un énième aller-retour sur ce maudit trottoir de la rue de Yvur. Il était 3h du matin et les nuits de septembre à Lilleland étaient froides surtout avec une tenue aussi légère que la sienne. Elle resserra les boutons de sa veste en lycra rose pour conserver un peu de chaleur en se disant qu’elle arriverait bien à la déboutonner à toute vitesse si jamais un client se présentait. Car, si vous ne l’aviez pas encore compris, Djamila était une prostituée ; pas une de ces filles qui s’invitaient dans les parties fines de la haute société pour des tarifs dignes de ministres mais bel et bien une « pute de trottoir » qui racolait le client dans sa voiture en présentant ses attributs au travers de la portière. Ses clients justement étaient souvent des bourgeois qui n’hésitaient pas à venir s’encanailler avec la lie de la société après que leur petite famille se soi endormie.

La rue Yvur n’appartenait pas à la tristement célèbre « cour des miracles » mais longeait cet enchevêtrement de rues étroites et d’immeubles délabrés dans lesquels se massaient les habitants les plus pauvres de la ville ainsi que l’immense majorité de ses truands. C’était sur cette frontière invisible que Djamila et ses collègues attendaient le chaland qui, en bon petit bourgeois, n’osait jamais s’aventurer dans l’antre des loups.

Une voiture ralentit en s’approchant de la jeune femme et cette dernière jeta la cigarette qu’elle venait d’allumer pour se ruer vers le véhicule en prenant bien soin d’exposer sa poitrine qu’elle savait être son meilleur argument.

– C’est combien? Demanda le chauffeur avec un accent qui trahissait son origine allemande.

En plus des habituels clients locaux, il n’était pas rare de voir débarquer un VRP étranger en voyage d’affaire et qui, logeant dans l’un des hôtels de la périphérie, venait se payer un petit extra, histoire de tromper son ennui.

– 50 pour la pipe, répondit-elle. 100 pour l’amour. 1000 pour la nuit.

– 100 c’est largement suffisant, répondit le gars.

Djamila soupira intérieurement, non pas qu’elle rêvait de passer du temps avec ce blondinet grassouillet mais au moins elle aurait été sûre de finir la nuit au chaud. Tant pis, elle allait devoir se contenter d’un coup rapide sur le siège de cette grosse BMW.

– On va sur le parking derrière, proposa-t-elle, sinon pour 50 de plus, je te montre un endroit bien plus agréable… prés de la mer.

Le blondinet hocha la tête et lui ouvrit la portière de la BMW. Djamila se dit qu’elle venait de se faire un bénéfice non négligeable. Si elle avait pu prédire la suite des événements, elle aurait tout de suite renoncé à ces petits 50 supplémentaires et aurait traîné son gros allemand sur le parking.

CHAPITRE 2

En suivant les indications de Djamila, l’Allemand les conduisit jusqu’à une petite corniche perdue dans le maquis. Il se tourna en direction de la mer et souffla devant la vue sur le golfe qu’offrait cet endroit ; il apprécia également la discrétion offertes par les arbres et arbustes. L’endroit idéal pour les amoureux…et les parties de jambe en l’air. Il ouvrit sa portière et posa les pieds au sol avant de tourner la tête en direction d Djamila.

– Ramène ton cul par là!

La jeune femme sortit de la voiture sans même relever le ton grossier ; elle en avait malheureusement l’habitude. Elle s’agenouilla pour se mettre au niveau de l’entrejambe de l’Allemand qui avait déjà dégrafé son eskişehir escort pantalon pour lui présenter un pénis en érection à hauteur du visage. En professionnelle, Djamila engloutit le sexe. Le blondinet s’adossa en grognant pour indiquer qu’il appréciait son travail. Elle accéléra le rythme de son va et vient en se disant qu’elle aimerait bien le faire jouir rapidement mais il la repoussa sans ménagement pour lui indiquer qu’il désirait tout autre chose.

– Chauffe-moi avec tes gros nibards, ordonna-t-il.

Habituée à ce genre d’exigence, Djamila ne fit aucune manière et abaissa les balconnets de son body. Ses tétons se dressèrent sous l’effet du froid qui venait piquer sa poitrine désormais exposée mais elle ne plaignit pas et emprisonna le sexe du touriste entre ses mamelles généreuses. L’homme recommença à grogner de plaisir alors qu’elle entamait une série de mouvements verticaux. Elle le sentait excité au plus haut point et commençait à craindre qu’il ne jouisse dans cette position lui maculant tout le haut du corps de sa semence. Heureusement, l’homme finit par décider de passer à un menu plus copieux et la fit s’accroupir sur le ventre à la place qu’il occupait juste avant. Djamila se plaqua du mieux qu’elle pouvait contre le cuir du fauteuil afin de se réchauffer au maximum. Derrière elle, l’homme enfila un préservatif avant de presser son sexe toujours excité contre sa croupe offerte. La pénétration ne fut pas désagréable mais ne lui produisit pas non plus le moindre plaisir comme toujours : ce n’était qu’une passe sans importance. L’homme lui ne se souciait pas une seconde des états d’âme de sa partenaire vénale et semblait tirer un maximum de jouissance de cette relation sordide. Il empala le vagin de la jeune femme de tout le long de son pénis et commença à la limer. Ses bourses venaient claquer contre les fesses de la prostituée à chaque mouvement d’aller-retour. Djamila s’adapta à ses coups de boutoir et se força à geindre doucement pour donner l’impression qu’elle jouissait. Finalement, le gros touriste jouit, remplissant la capote d’un liquide épais et abondant. Il se retira et tapa sur la fesse droite de la prostituée pour lui indiquer de se relever. Djamila ne se fit pas prier et en profita pour réajuster ses vêtements.

Rapidement de retour derrière le volant, le touriste fit tourner sa clé de contact, faisant craindre à Djamila qu’il ne veuille l’abandonner en pleine nature. Il n’en était pas question et elle se dirigea vers la voiture bien décidée à ne pas s’en laisser compter.

A cet instant précis, trois motos déboulèrent en provenance de la route, empêchant la voiture de quitter son stationnement. Djamila se retourna et comprit que ses petits problèmes de retour devenaient secondaires.

CHAPITRE 3

Apothéose de cette soirée détestable, Djamila subissait sa deuxième relation sexuelle de la soirée. Sauf que cette fois, il ne s’agissait pas d’une relation tarifée mais d’un viol pur et simple. Allongée sur le dos sur le capot de la voiture, ses vêtements déchirés et les dents serrées pour ne pas hurler, elle supportait avec tout le stoïcisme dont elle se sentait capable la pénétration du sexe de l’un des trois hommes qui avaient surgi dans la nuit. L’homme se tenait au dessus d’elle, tellement prés de son visage qu’elle sentait son haleine chargée d’alcool mais bien entendu ce n’était pas la partie la plus insupportable de son calvaire.

– Oh putain ce qu’elle est bonne!!! Cracha l’homme avant de se retourner vers l’un de ses complices. Tu devrais en profiter toi aussi, cette salope est chaude comme une fournaise.

Djamila tentait de faire abstraction de la nature des propos de son violeur car elle n’avait qu’une idée en tête : survivre. Elle connaissait ces hommes et leur sordide réputation de détrousseurs de clients de prostituées et si elle pensait encore avoir affaire à des enfants de cœur, le corps ensanglanté de son client anéantissait toutes ses illusions.

Le gros Allemand avait tenté de résister à ces trois voyous dans l’espoir de sauver sa carte de crédit et sa voiture. Il avait perdu la vie, un bien triste échange et maintenant Djamila payait le prix de ce courage mal placé. Dans la seconde qui avait suivi l’assassinat, le plus grand des trois hommes l’avait attrapée par le cou et contrainte à s’allonger sur ce maudit capot. Son body et sa jupe n’avaient pas offert une grande résistance face à la brutalité de ce gaillard qui l’avait alors pénétrée sans aucune protection ni douceur. Depuis cet instant, elle subissait les assauts de ce rustre qui semblait bien décidé à profiter d’elle au maximum.

– Je te le dis Simon, c’est un méga affaire! Ajouta-t-il en donnant un nouveau coup de rein qui la fit sursauter.

Le dit Simon souleva un regard inquiet en réalisant que son complice venait de prononcer son nom en la présence d’un témoin et le cœur de Djamila cessa de battre. Si jamais ils pensaient qu’elle constituait un danger pour leur avenir, gaziantep escort ces hommes n’hésiteraient pas à la tuer après l’avoir violée. En attendant, Simon reporta son attention sur le corps du touriste allemand qu’il s’échinait à dépouiller de toutes ses richesses.

Le grand brun se retira du vagin de la prostituée mais cela ne signifia pas la fin du viol, au contraire. Il la força à lever les fesses, rendant ainsi son anus parfaitement accessible. Avant qu’elle n’ait eut le temps de comprendre ce qui se passait, Djamila se retrouva sodomisée dans cette position inconfortable. Il ne s’agissait pas de sa première sodomie mais elle n’avait jamais apprécié cette pratique et ne la proposait jamais à ses clients. Aussi, elle ne put retenir un petit cri de douleur alors que le membre de chair s’enfonçait dans ses entrailles.

Bien entendu, son violeur ne se soucia pas de sa souffrance et accéléra le rythme de son pistonnage.

L’homme se serra encore plus contre elle, accentuant encore la douleur qu’elle ressentait dans ses entrailles. Djamila désirait ardemment pouvoir arracher les yeux de cet enfoiré mais son sa raison l’emporta sur cette vague de haine impuissante.

Des larmes au coin des yeux, elle embrassa la nuit de son regard. Elle vit le second homme qui continuait à fouiller le cadavre de son client et surtout, elle détailla le troisième, le seul qu’elle connaissait.

Contrairement aux deux autres, il ne s’était pas éloigné de sa moto et semblait sur le qui-vive. En dépit de la brutalité démontrée par les deux autres, cet homme lui inspirait une profonde terreur. Et pour cause, il était connu de tous les habitants de la « cour des miracles » comme l’un des jeunes truands les plus cruels sévissant dans les bas-quartiers de Lilleland.

Djamila sentit alors son violeur se raidir et il se retira brutalement pour éjaculer sur son ventre. Elle savait que son destin allait bientôt se jouer.

Le violeur se retourna vers son complice avec une expression béate sur le visage.

– Je te jure, Simon. Tu dois en profiter, elle a un cul magique.

– Pas le temps! Lui lança alors le troisième homme. Nous sommes restés déjà bien trop longtemps!

Simon sourit ironiquement devant l’inquiétude de son complice.

– Et alors? Qui veux-tu qui nous dérange? La police peut-être?

Il semblait sûr de son fait mais quand son regard croisa celui implacable de Paul Moreno, toute son assurance disparut. A ce moment, Djamila ne fut pas la seule à trembler de peur.

– Bon, bon, concéda finalement Simon. Partons d’ici!

– Et la fille? Demanda le violeur.

– Pas de témoin gênant, décréta Paul Moreno.

En dépit du ton neutre employé par le truand, Djamila comprit parfaitement qu’il venait de signer son arrêt de mort. En dépit de son épuisement, elle tenta de se relever pour échapper à son sort. Malheureusement, elle ne réussit pas à s’éloigner de quelques mètres avant que l’homme qui l’avait violée ne la rattrape et la plaque au sol.

– Désolé pour toi ma belle, ricana-t-il en commençant à l’étrangler. Tes qualités de salopes ne justifient qu’on te laisse en vie.

Djamila tenta de lutter. Elle battait l’air de ses bras, griffant le visage de son agresseur mais celui-ci ne fit aucun cas de sa résistance et resserra encore son emprise sur son cou. L’air commença à manquer et les yeux de la prostituée se révulsèrent. Elle sentait que sa dernière heure était venue quand soudainement une sirène retentit. Son agresseur lâcha alors son emprise sous l’effet de la surprise.

CHAPITRE 4

Paul jura en voyant apparaître la voiture bleue et noire. En dépit des pots de vins versés généreusement aux pontes de la police locale, certains flics trop zélés s’invitaient dans leur petite affaire. Un nom s’imposa alors à lui : l’unité Roux. il fallait s’échapper de ce traquenard au plus vite.

La puissante Honda rouge démarra en trombe, prenant les deux officiers au dépourvu. Paul passa à moins d’un mètre de leur véhicule et ne mit qu’une minute pour atteindre la route principale. Il souffla en songeant que les deux autres idiots n’avaient certainement pas réussi à s’échapper.

Cette pensée n’occupa son esprits que quelques secondes car sa route croisa celle d’un autre bolide bleu et noir. Le crissement provoqué par le coup de frein donné par le flic indiqua immédiatement qu’il n’était pas tiré d’affaire. Une course poursuite s’engagea.

CHAPITRE 5

Thierry Diomandé sortait de son véhicule juste au moment où une flèche rouge passait à son niveau. Il ne vit pas le visage du pilote mais sut immédiatement qu’il ne réussirait jamais à rattraper un tel bolide. Il se tourna vers son camarade pour constater qu’il s’était déjà emparé de la radio pour transmettre l’information aux autres voitures en patrouille. Comme toujours, Corentin Lopes avait un train d’avance sur lui.

Sans prendre le temps de s’appesantir sur ses lacunes, Thierry accourut vers giresun escort le trio restant en brandissant son arme. Dans ces moments, son esprit gagnait en efficacité et il appliquait les leçons de l’école de police : identifier les menaces, reconnaître et protéger les victimes et surtout ne jamais se laisser surprendre. Thierry Diomandé n’avait certes pas le génie de Corentin mais c’était le meilleur flic à avoir jamais endossé l’uniforme de la police de Lilleland.

Il identifia la femme, allongée sur le dos et visiblement sonnée : aucun danger immédiat de ce côté. Le corps sans vie d’un blondinet trop gras ne risquait pas le gêner non plus. Restaient deux grands gaillards bien trop habitués à terroriser les putes et les touristes pour se rendre compte qu’il affrontaient un adversaire bien trop fort pour eux. Le plus proche de lui eut la mauvaise idée de glisser sa main dans sa poche : une balle dans l’épaule lui fit lâcher le couteau qu’il venait de saisir. Le voyou s’écroula en hurlant. Il ne fallut qu’une seconde pour que l’arme du policier se braque en direction du second gaillard. Ce dernier se figea comme une statue de sel : toute forme de courage l’avait abandonné.

Installé dans le dos de son coéquipier pour le couvrir, Corentin ne put qu’admirer son efficacité. Un seul coup de feu et l’affaire était réglée.

Un bruit de moteur leur indiqua qu’une nouvelle voiture débarquait. Arme au poing, Christophe Cuq et Gérald Battant se joignirent à leurs équipiers : l’affaire était entendue.

CHAPITRE 6

– C’est fou! Estima Christophe. Cela fait 6 mois que toute la police locale se casse les dents sur cette bande et il a suffi que tu te penches sur leur cas pour que les faire tomber dans nos filets.

Corentin hocha la tête, à peine conscient du compliment. Tout cela lui semblait tellement évident : toutes les informations nécessaires se trouvaient dans le dossier, il suffisait de les interpréter pour saisir le schéma de fonctionnement de ces voyous. Si cette efficacité si soudaine entretenait sa propre légende, elle soulignait aussi la signifiante inefficacité des enquêteurs précédents. Ces derniers auraient des comptes à rendre car l’incompétence ne justifiait pas totalement leurs échecs répétés. De plus, Corentin n’oublia pas l’essentiel. Si Simon Attrangelo et Riszard Wojitek n’étaient plus un problème, la cible principale leur avait échappé.

Assise dans un coin, la prostituée qu’ils venaient de sauver semblait tenter de se faire oublier. Gérald s’était assurer de sa bonne santé mais par la suite, tous les policiers présents semblaient avoir totalement oublié sa présence comme si le sort d’une pute des bas quartiers ne pouvait avoir aucun intérêt.

Corentin se pencha sur elle et, par réflexe, elle resserra les pans de couverture dont on l’avait revêtue pour dissimuler son anatomie et suppléer les lambeaux de vêtements qu’il lui restait encore.

– Bonsoir madame, lança-t-il.

Djamila considéra ce petit homme aux cheveux bruns hirsutes avec une expression éberluée : le dernier homme à l’avoir appelé madame portait un dentier et une perruque. Rien à voir avec ce policier à peine plus vieux qu’elle et dont le regard bleu ne montrait aucun signe de lubricité.

– Ce que vous avez subi ce soir est inqualifiable, reprit-il, et je compte bien faire payer tous les responsables.

La jeune prostituée allait de surprises en surprises. Les flics ne voulaient pas l’aider, les moins salauds se contentaient de la chevaucher sur la banquette arrière de leur véhicule de service alors que les pires la rackettaient régulièrement. Etrangement, elle fut persuadé que ces raclures n’avait bien que leurs uniformes en commun avec celui qui s’adressait à elle.

– Nous allons tous les faire payer, insista Corentin… mais pour cela je vais avoir besoin de votre aide.

CHAPITRE 7

La sirène de police retentissait dans les rues de Lilleland alors que la voiture noire et bleue poursuivait la moto de Paul Moreno. En temps normal, le bolide rouge aurait dû la semer rapidement mais le chauffeur de cette antiquité sur roues était d’une vraiment doué.

Le visage rouge et dégoulinant de sueur, Stéphane Mahut pilotait son véhicule dans le dédale des rues étroites des quartiers Est. Inexorablement, il réduisait l’écart qui le séparait de sa cible et Paul en était conscient. Il ne cessait de bifurquer pour se faufiler dans des rues qu’il espérait trop étroites pour ce gros véhicule mais à chaque fois qu’il tournait la tête, il le retrouvait collé à ses basques. Il accéléra encore et manqua perdre le contrôle de sa Honda. Il prit un virage en angle droit et sentit presque la chaleur du moteur de la Fiat. Il hurla de rage.

La tension régnait également dans l’habitacle de la Fiat, les deux policiers gardaient leur esprit concentré sur leur traque et conscient du peu de temps qu’il leur restait pour la mener à bien.

La Honda cessa de louvoyer et rejoignit une grande artère, Stéphane poussa encore un peu plus sur l’accélérateur mais Paul tourna alors sur la droite et le policier dut piler sec.

Son équipier se tourna vers lui en grognant.

– Ne t’arrête pas! Nous allions l’avoir!

– C’est fini, décréta Stéphane. Il vient de prendre la rue Sicliano. Il a atteint la « Cour des miracles ».

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Juge Kimmy Ch. 04

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Ass

Traduction d’un texte de Doctor_devon.

Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n’aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.

**********

Quelle heure est-il? 3 h 00? Putain, je me masturbe depuis minuit. Ma chatte est douloureuse des abus que je lui inflige. J’ai l’impression que ma soumission à Devon a débuté il y a des années. Pourtant, ça ne fait que quelques mois. Je déteste le fait que ses visites ainsi que celles de ses amis se fassent plus rares, comme si je n’étais plus appétissante. Et je déteste encore plus de devoir détester que des étrangers n’abusent plus de moi.

3 h 30! Je remarque que le voisin d’en face a finalement cessé de me regarder me masturber. Il est courant maintenant que je laisse mes rideaux ouverts pour que n’importe qui me voit m’abuser moi-même. Mon voisin est le meilleur spectateur. Cela m’humilie et, bien sûr, ajoute à mon excitation. Je m’endormirai mais le dopant que je renifle à chaque fois que je somnole me tient éveillée et je peux continuer à frotter mon clitoris.

Je décide de renoncer à dormir. Je sors une publicité que quelqu’un a laissé sur ma table de nuit un soir. C’est une petite carte de visite qui fait la publicité d’un « glory-hole » dans la pire partie de la ville. Mon Dieu, Pourquoi ne puis-je m’arrêter? Pourquoi je continue mon humiliation alors que mes maîtres chanteurs ont presque arrêté? Ces questions me traversent l’esprit pendant que j’enfile des chaussures et un manteau sans rien d’autre. Une minute plus tard, je suis dans ma voiture et je roule vers l’adresse.

Le lieu est pire que tout ce que j’ai imaginé. Il s’agit d’un vieux bâtiment dans la partie industrielle du quartier le plus mal famé de la ville. Mon esprit me crie de partir aussi vite que possible mais je me vois sortir de la voiture et marcher vers l’entrée de l’immeuble. Une fois de plus, je suis l’esclave de mes désirs que Devon a éveillés en moi. Encore une fois, je vais permettre que l’on abuse de moi.

Derrière la porte, il y a un homme. Je remarque que l’endroit sent le vieux bois, le moisi et quelque chose d’autre que je ne reconnais pas.

– Vous êtes déjà venue? Me demande l’homme.

– Non! Est tout ce que je réponds.

Je vois s’afficher un sourire méchant sur son visage. Il m’explique les règles et que si je suis volontaire, je dois rester au minimum elazığ escort une heure? je serai enfermée dans une pièce sans possibilité de fuir. L’heure passée, la porte sera déverrouillée et je pourrai partir dès que je le voudrai. La pensée d’être enfermée m’effraie et tout de suite je sens l’excitation issue de cette peur. Sans rien dire, j’entre dans la pièce.

L’odeur dans cette pièce est très forte. Je me rends compte que ce que je ne pouvais identifier tout à l’heure est l’odeur d’une grande quantité de sperme séché. Le sol est tâché de foutre. La pièce n’est pas plus grande qu’un placard et il y a juste une petite ampoule allumée au plafond. Un petit tabouret se trouve au centre. Chacun des trois autres murs sont à portée du tabouret et il y a trois trous dans chaque mur.

J’entends la serrure de la porte et mon cœur commence à battre plus rapidement. Je suis prise au piège maintenant. Je retire mon petit flacon de dopant de la poche de mon manteau et j’en renifle une grande quantité. Je ressens l’effet immédiatement. Mon humiliation descend sur ma chatte et je me sens mouiller. J’enlève mon manteau et je l’accroche à un cintre derrière la porte. Au même moment, je remarque un œil qui regarde à travers l’un des trous, puis plusieurs autres. Il y a au moins deux personnes sur chacun des trois côtés de la pièce. Une peur supplémentaire me saisit quand je réalise que, même si je n’ai aucune idée de qui me regarde, ils peuvent clairement voir qui je suis. Cette peur a l’effet habituel sur moi. Je m’assois sur le tabouret et je commence à me masturber. Comme d’habitude, je ne suis pas gentille avec moi-même et je le fais brutalement, allant même jusqu’à gifler mon clitoris.

Le spectacle a l’effet désiré sur les voyeurs et des bites à moitié raides apparaissent dans les trous. Deux d’entre elles sont blanches et de taille normale alors qu’une autre est noire et beaucoup plus grosse que les deux autres. Mes mains attrapent les deux queues blanches et je ne perds pas de temps pour mettre ma bouche sur la queue noire. Je travaille les deux bites avec mes mains, les caressant pour qu’elles deviennent bien dures, tout en approchant ma tête le plus près du mur pour que la bite noire baise mon visage.

Je libère une de mes mains asses longtemps pour tirer un vibromasseur de mon manteau et me l’enfiler dans la chatte. Je l’allume et un bourdonnement fait vibrer mon clitoris. C’est à ce moment que erzincan escort je remarque que si je m’agenouille sur le tabouret, ma chatte sera en face du trou que je choisirai. Alors que je réfléchis, j’entends l’un des hommes blancs gémir bruyamment. Je mets mon visage à côté de sa queue quand il éclate. Les jets de sperme frappent ma figure et dégoulinent sur mes seins. Je prends rapidement la bite dans ma bouche pour obtenir la dernière goutte. En reculant, je vois un autre œil me regarder par un autre trou. L’humiliation de me rendre compte que quelqu’un me regarde prendre une éjaculation sur le visage, combinée au vibromasseur dans ma chatte me fait jouir.

L’autre bite blanche explose avant que je ne le remarque et le sperme éclabousse mon ventre. Comme pour la première, je la prends rapidement en bouche et je la suce. Un autre orgasme me traverse. Mon Dieu, pourquoi suis-je ici en train de faire ça? Je dois sortir. J’attrape la poignée de la porte mais je me rappelle que je suis enfermée. J’essaie sans succès d’ouvrir la porte. Je me retourne et je vois encore plus de yeux et de bites à travers les trous. Je me sens faible et je jouis à nouveau.

Je suis prise au piège de ma propre volonté. Ne pouvant plus rester debout, je tombe à genoux sur le tabouret. Sans m’en rendre compte, ça rapproche ma chatte de la grosse queue noire que je viens de sucer. Elle entre en moi avec facilité, cette invasion soudaine me coupe le souffle. J’essaie de m’éloigner mais un autre orgasme me traverse. Celui-ci est si intense que je deviens une poupée de chiffon. Je reste agenouillée et me laisse baiser comme une salope. Je regarde à droite et je vois une bite dans un trou et un œil qui me regarde dans les deux autres. Juste devant moi il y a une autre bite et un œil dans un autre trou. Je prends le sexe de droite dans ma main et je commence à le branler. J’ouvre la bouche et j’avale le sexe devant moi. Une autre bite sort par un trou à ma gauche. Je la prends dans mon autre main.

Je suis là, enfermée dans une pièce où je suis entrée volontairement, en train de faire plaisir à quatre bites pendant que d’autres hommes me regardent. L’homme qui baise ma chatte jouit et déverse sa semence. Il y en a tellement que ça coule le long de mes cuisses. C’est suffisant, et lorsque l’une des queues que je branle gicle sur mon dos et mes cheveux, je jouis une cinquième fois. Cet orgasme me fait tomber sur le sol pendant erzurum escort qu’une autre bite gicle sur mon dos et mes fesses. Je suis presque évanouie. Alors je ne veux pas continuer et j’attends que l’heure passe.

J’entends des gens qui me crient dessus à travers les murs. Ils me traitent de salope et me demandent de me relever. J’essaie d’ignorer ces humiliations. Puis j’entends la porte être déverrouillée. L’heure était-elle passée? J’aperçois l’homme du début.

– Je t’avais prévenue que tu devais rester une heure.

– Que voulez-vous dire? Demandé-je faiblement.

Sur ce, une demi-douzaine d’hommes entre par la porte. Ils m’agrippent. J’essaie bien de protester mais ils n’écoutent pas, l’un d’entre eux, un black, me pousse à genoux et enfile sa bite dans ma bouche. Un autre homme passe derrière moi et fourre sa queue dans ma chatte. Mon Dieu, ils n’arrêteront pas avant d’être satisfait. Ils étaient de l’autre côté des murs pour se vider et je n’ai pas fait ce qu’ils attendaient. Ils ont donc décidé de me violer.

Mais c’est de ma faute. Je me suis moi-même mise dans cette position d’être abusée et violée. Les larmes remplissent mes yeux quand je comprends ça et mon humiliation est multipliée par dix.

L’homme dans ma bouche jouit assez vite. Il remplit ma bouche de sperme et ça déborde. La plus grande partie coule sur mon menton. Je lève les yeux et je vois un autre homme jouer avec sa bite bien raide. Je suis déjà allée trop loin dans ma dégradation, je lui crie de me baiser le visage. Il ne perd pas de temps et met sa bite dans ma bouche pour me baiser durement. La queue dans ma chatte se vide soudainement, la remplissant avec la deuxième décharge de foutre de la soirée. Je sens quelqu’un cracher sur mon anus et une autre bite entre dans mon cul d’un seul coup. Je gémis autour de la queue dans ma bouche car la douleur est intense. Je me rends compte que ma main est encore sur mon clitoris pour le frotter durement.

Pendant l’heure suivante, ou peut-être plus, plusieurs hommes m’ont baisée. La dernière bite que je suce est celle du portier.

Enfin, je chancèle jusqu’à ma voiture, le manteau ouvert, mon corps exposé dans la nuit. Alors que je retourne chez moi, je pense à ce qui vient de se passer. Je suis dégoûtée par mon comportement. Pourtant je sais, oui je sais que j’y retournerai probablement même si je ne le veux pas. Hébétée, je fais glisser le vibromasseur sur ma chatte et je l’allume. Le bourdonnement blesse mon clitoris déjà douloureux et je suis de nouveau excitée. Je conduis comme ça et je m’arrête parfois lorsqu’un orgasme me frappe. C’est presque l’aube. Je me demande ce que je vais faire à la maison, de quelle façon je vais encore abuser de mon corps?

A suivre…

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Visite en Prison.

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Big Tits

Traduction d’un texte de MillerHighLife

*****

Tiffany est si nerveuse qu’elle se dit que son cœur va sortir de sa poitrine tellement il bat fort. Elle essaie de sa clamer en prenant de grandes inspirations. En dix ans de mariage, elle n’a jamais trompé son mari. En fait c’est le seul homme avec qui elle a couché. Tiffany aime toujours son mari et ses deux enfants, mais elle aspire à quelque chose de plus que la vie d’une femme au foyer en banlieue.

Il y a un an, elle a commencé à discuter en ligne avec un homme plus jeune. Son pseudonyme était LeGros. Au début, leurs échanges étaient purement portés sur le sexe et lorsqu’ils échangeaient des messages, c’était toujours vicieux. Pour la première fois depuis des années, Tiffany pu avoir des orgasmes satisfaisants en fantasmant sur son amant en ligne.

Au fil des mois, des morceaux de leur vie personnelle se sont glissés dans leurs conversations. Puis LeGros lui a dit qu’il avait un secret. Il était détenu dans une prison de haute sécurité et purgeait une peine de prison à vie pour trois vols à main armée et un meurtre.

A ce moment, Tiffany n’était pas sûre de savoir si elle devait répondre ou lui écrire à nouveau. Il lui fallut une semaine pour réfléchir et elle lui répondit sans rien cacher de sa vie. Elle lui a dit à quel point sa vie était ennuyeuse et qu’elle avait désespérément besoin d’excitation. Le massage suivant de LeGros fut le plus explicite et excitant qu’il ait jamais envoyé. Chaque mot l’excitait davantage au point qu’elle ne put s’empêcher de se masturber. A la fin du message, elle vit que LeGros aveit joint un lien vers le site web de la prison. Lorsque elle a cliqué sur ce lien, un formulaire de demande de visite conjugale est apparu.

Son esprit s’embrouilla en réfléchissant aux conséquences de ce qu’il proposait. Si son mari découvrait son infidélité, il divorcerait sûrement. Si sa famille l’apprenait, elle serait reniée. Mais avant qu’elle puisse se convaincre que les risques étaient trop grands, elle remplit le formulaire et l’envoie. Trois jours plus tard, elle reçut une lettre officielle du service pénitentiaire lui indiquant que sa demande de visite conjugale avec le détenu n° 300169 était approuvée.

Le lendemain matin, Tiffany est assise au volant de sa mini-fourgonnette. Elle regarde la clôture recouverte de barbelés qui entoure la prison de haute sécurité. Ses inspirations profondes l’aident à faire ralentir son cœur qui s’emballe. Toutefois, son estomac se serre toujours. Elle a fait tout ce chemin, mais elle n’est pas sûre de pouvoir aller jusqu’au bout.

Rassemblant tout son courage, elle ouvre la porte de son véhicule et sort sur le parking. Tiffany s’est habillée pour mettre en valeur ses atouts féminins. Elle porte des talons hauts, une mini-jupe noire qui couvre à peine ses fesses et un débardeur rouge si serré qu’il est comme une seconde peau sur ses seins. Alors qu’elle se dirige vers la porte indiquée comme l’entrée des visiteurs, elle peut voir que les gardes de la tour la lorgnent. Toutes ces heures passées à se dépenser à la salle de gym semblent soudainement en valoir la peine.

Le garde à l’entrée prend sa lettre d’autorisation. Il la lit en détail et déverrouille la porte en grognant. Tiffany entre et se retrouve dans une allée étroite entre deux cours de promenade pour les détenus. Il s’y trouve une dizaine de prisonniers, tous habillés en orange vif. Ils arrêtent tous leur activité pour la regarder. Elle essaie alors d’éviter tout contacte visuel et se concentre sur le prochain contrôle de sécurité.

Tiffany ne peut voir le visage du garde qu’à travers une petite fenêtre pare-balles du poste de contrôle. Par l’interphone, il lui ordonne de faire passer sa demande d’autorisation dans la fente qu’il vient d’ouvrir près de la porte. Elle s’apprête à faire passer van escort le papier, mais elle le fait tomber accidentellement. Sans réfléchir, elle se penche pour le ramasser. Soudain, derrière elle, elle entend des cris des détenus, des sifflements et des remarques obscènes et vulgaires, les pires qu’elle ait jamais entendus. C’est alors qu’elle se rend compte que le fait que sa jupe soit très courte et qu’elle ne porte pas de culotte ont donné une vue imprenable sur son cul et sa chatte rasée quand elle s’est penchée. Rougissante elle se relève et tire sur sa jupe. Après avoir fait passer le document dans la fente, le verrou de la porte est déverrouillé et elle peut pénétrer à l’intérieur.

Elle est accueillie par un gardien à la voix monotone qui lui lit sur un bloc-notes :

– Bienvenue dans cette prison de haute sécurité. Pendant votre visite, vous devrez obéir à tous les ordres qui vous seront donnés par le personnel en uniforme de cet établissement. Pendant votre visite vous serez sous surveillance constante. Tenter de faire passer des produits de contrebande à la population carcérale est un crime de classe trois, passible d’une peine de prison de huit ans maximum et d’une amende de 25 000 dollars. En signant au bas de cette déclaration, vous consentez à une fouille de votre personne ainsi que des objets apportés dans cet établissement.

Le garde lui tend le bloc-notes. Tiffany jette un œil à ce formulaire de consentement et signe rapidement. La garde récupère son bloc-notes et dirige la femme vers un détecteur de métaux. Il lui dit :

– Enlevez vos chaussures, vos bijoux et tout autre objet et placez-les dans ce panier.

Tiffany connaît la procédure pour avoir plusieurs fois passé la sécurité d’un aéroport. Elle pose ses affaires dans le panier et elle franchit le détecteur en toute confiance. Aucune alarme ne se déclenche. Elle s’arrête en attendant que le garde lui rende le contenu du panier. Mais il le pose sur une étagère et lui dit :

– Passez la première porte à droite!

Elle voudrait récupérer ses talons, mais elle décide de ne rien dire. Elle fait ce qu’il lui a dit et trouve une gardienne qui l’attend. Tiffany est surprise de voir à quel point elle est attirante. Même dans l’uniforme gris, elle se rend compte que la gardienne aux cheveux blonds et aux yeux bleus a une silhouette étonnante. Elle se demande si elle n’a pas été engagée pour exciter les détenus.

D’un ton sévère qui ne va pas avec ses jolis traits, la gardienne dit :

Vous allez devoir maintenant vous soumettre à une fouille corporelle complète et à une fouille de vos intimités. Enlevez vos vêtements un par un et donnez-les-moi!

Tiffany fait passer son haut par-dessus sa tête et lui donne. Elle regarde la gardienne examiner le vêtement, puis le déposer sur le sol à côté de la porte ouverte. Le processus se répète avec sa jupe. La femme lui demande ensuite de se tenir debout, les pieds sur les X en adhésifs sur le sol, les bras tendus au-dessus de sa tête. Tiffany prend a position et elle entend le bruit de latex sur la peau que l’on fait en enfilant des gants.

Tiffany n’a jamais subi de fouille corporelle auparavant, mais elle a une idée de ce quoi elle doit s’attendre. La gardienne lui ordonne d’ouvrir sa bouche en grand. Elle n’aime pas le goût du latex, mais elle ne se plaint pas quand la femme glisse son doigt autour des gencives et sous sa langue. Puis la gardienne soulève chacun de ses seins pour s’assurer que rien n’est collé dessous.

– Maintenant penchez-vous et posez les mains à plat sur le sol!

Les cours de yoga qu’elle suit trois soirs par semaine lui permettent de prendre cette pose sans problème. Tiffany sent deux doigts fins toucher sa chatte puis pénétrer à l’intérieur. La gardienne sonde l’intérieur de sa grotte jusqu’à yalova escort ce qu’elle soit sûre que rien ne se cache dedans. Puis sans le moindre avertissement, la gardienne enfonce ses doigts dans son trou du cul. Tiffany sursaute sous cette intrusion anale.

– Ne bougez pas et détendez-vous! Ordonne la gardienne.

Tiffany sent qu’elle prend plaisir à la dégrader ainsi.

Enfin la gardienne retire ses doigts et demande à Tiffany de s’habiller. La mère de famille se glisse rapidement dans ses vêtements et suit la gardienne jusqu’à une petite cellule vide tout au bout du couloir. Elle déverrouille la porte de la cellule et laisse Tiffany entrer.

Désignant la porte opposée à celle qu’elle vient d’ouvrir, la gardienne dit :

– Dans un instant, le détenu que vous venez voir entrera par là!

Puis la gardienne laisse tomber son ton autoritaire et dit :

– Vous devriez peut-être me donner vos vêtements. Ces types ont tendance à être un peu brutaux, et j’ai vu des femmes repartir d’ici presque nues parce que leurs vêtements étaient complètement déchirés.

Tiffany se contente de hocher la tête et de se déshabiller à nouveau. Elle tend ses habits à la gardienne en lui disant :

– Merci!

– Pas de problème, mais j’ai juste une autre question. Pourquoi veux-tu baiser un type qui purge une peine de prison à vie pour avoir brutalement violé six femmes?

Tiffany secoue la tête en pensant qu’il doit y avoir une erreur. Son expression de surprise indique à la gardienne qu’on a dû lui mentir. Celle-ci dit en riant :

– Vous êtes tellement stupides, vous les salopes!

Elle fait claquer la porte de la cellule et s’éloigne. Tiffany tape du poing sur la lourde porte métallique dans une tentative futile pour qu’on la libère. Puis, derrière elle, l’autre porte s’ouvre. Elle se retourne et appuie son dos contre la porte métallique froide. L’homme qui se tient à l’extérieur de la cellule est tellement grand que les gardes qui l’escortent semblent être des nains. Des muscles épais ondulent sous sa peau noire comme du charbon quand il franchit la porte. Il doit se baisser et tourner ses épaules pour pouvoir entrer dans la cellule. A part les chaînes qui l’entravent, il est complètement nu. Les yeux de Tiffany sont immédiatement attirés par le membre massif entre ses jambes. Elle n’a jamais imaginé qu’un sexe puisse être aussi grand.

Les gardes qui l’escortent ne perdent pas de temps à lui enlever les menottes. L’un d’eux dit par-dessus son épaule en partant :

– Tu as une heure! Amuse-toi bien!

Tiffany tremble tellement qu’elle peut à peine tenir debout. LeGros fait un pas vers elle et elle hurle de terreur. Il se jette sur elle et sa grande main se referme sur son cou. En chuchotant à son oreille, il lui dit :

– Nous pouvons faire ça de la manière douce ou de la manière forte. Ça n’a pas d’importance pour moi, car de toute façon j’obtiens ce que je veux.

Il relâche sa prise et Tiffany se met à genoux devant lui. Sa grosse bite commence à se dresser devant son visage. Rien qu’à son regard, elle sait ce qu’il veut qu’elle fasse. Tiffany ouvre la bouche aussi grande que possible et laisse le gland violet foncé glisser dans sa bouche. La queue continue à grossir et bientôt elle remplit sa bouche complètement. LeGros pose une main sur l’arrière de sa tête. Elle lève les yeux vers lui pour le supplier de ne pas lui faire de mal. Mais pour toute réponse, il lui lance un regard froid et insensible. Il lui fait basculer la tête en arrière et il commence à s’enfoncer dans sa gorge.

Tiffany commence à étouffer, mais l’homme se contente de rire. Elle peut sentir chaque veine de sa bite sur sa langue. Des larmes coulent de ses yeux. Par réflexe, elle commence à le mordre. c’est alors qu’il la gifle et lui crie :

çorlu escort Je me retire quand tu lécheras mes couilles!

Sa gorge la brûle de plus en plus alors qu’il s’enfonce dans sa bouche. Sur le point de s’évanouir, Tiffany peut tirer la langue assez loin pour chatouiller les poils de ses couilles. A son grand soulagement, le colosse noir est fidèle à sa parole et il retire son membre de sa bouche. Sa bite est recouverte de longs filets de salive. Tiffany tousse et quand elle essaie de parler, les mots ne sortent que dans un murmure rauque. Elle voudrait se recroqueviller sur le sol et se laisser mourir pour s’être laissée entraîner dans cette situation.

En sanglotant de façon incontrôlable, Tiffany ne peut rien faire pour empêcher l’homme de continuer à la torturer. LeGRos coince ses bras au sol à côté de sa tête et se met à cheval sur son corps. Il commence à mordre ses seins et à sucer ses tétons. Il laisse d’énormes zébrures rouge foncé sur sa poitrine. Mais il ne s’arrête pas qu’à ses seins, il laisse des marques le long de ses jambes, de ses bars, de son ventre et à un moment il la retourne pour lui faire la même chose au dos et à ses fesses. Il faudra des semaines pour que les marques disparaissent complètement.

LeGros sait que son heure va bientôt être terminée. Il a besoin de sentir sa chaleur autour de sa virilité. Il soulève Tiffany et la plaque au mur, assez haut pour que ses pieds ne touchent plus le sol. A ce stade, la mère de famille a abandonné toute résistance. Sa vie telle qu’elle l’a connue est terminée. Elle n’arrive pas à s’expliquer ce qui lui arrive. Elle peut sentir la bite de l’homme noir s’enfoncer en elle tandis qu’il la laisse glisser le long du mur. Son propre poids l’empale sur la grosse queue. Tout ce qu’elle peut faire c’est de grimacer à cause de la douleur de cette bite qui pénètre profondément en elle.

Elle finit par sentir les poils pubiens de l’homme contre ses lèvres de chatte gonflées. LeGros se déplace vers le centre de la cellule. Puis il commence à la soulever et à la laisser retomber sur sa queue. Les gémissements de Tiffany sont dus au début à cause de la douleur, mais finalement le plaisir se mêle à cette douleur. Le rythme de l’homme accélère et elle jouit d’une intensité qu’elle n’a jamais connue. Plus rien ne semble avoir de sens pour elle. Elle est en train de se faire violer violemment et elle lui crie de ne pas s’arrêter. Ses orteils se recroquevillent et elle griffe son dos alors que les orgasmes s’enchaînent.

Le colosse noir ne peut se retenir plus longtemps. Il explose en elle. Il peut encore sentir sa chatte se serrer quand il sort. Le corps de Tiffany en demande encore. Il l’allonge sur le sol et admire son travail. Ses yeux sont rouges et les larmes coulent sur ses joues. Les marques qu’il lui a infligées sont bien visibles. Mais son chef-d’œuvre se trouve entre ses jambes encore tremblantes. Sa chatte est béante et laisse échapper son foutre qui forme une flaque sous elle.

Les gardes reviennent et lui remettent les menottes. Ils ne prêtent aucune attention à Tiffany, qui est assise contre le mur de la cellule, en état de choc. Un moment plus tard, la gardienne ouvre l’autre porte côté visiteurs et jette ses vêtements à Tiffany.

Plus tard ce soir-là, Tiffany est seule dans le confort douillet de sa tranquille maison de banlieue. Elle vérifie ses e-mails. Sa famille est au lit. Elle a convaincu son mari qu’elle n’allait pas bien et que c’était pour ça qu’elle portait un jogging plutôt que sa nuisette habituelle. Même si elle est meurtrie dans sa chair et dans son âme, elle espère avec impatience recevoir un message de LeGros. Juste avant qu’elle ne soit sur le point d’éteindre l’ordinateur et d’aller se coucher, elle reçoit un nouvel e-mail. Elle ne reconnaît pas l’expéditeur, mais l’ouvre quand même. Le message dit :

« Je suis un ami de LeGros. Il m’a dit que tu étais une salope blanche excitée qui aime les bites noires. J’aimerai beaucoup te rencontrer »

En bas de l’e-mail, il y a un lien vers le site web de la prison. Tiffany clique dessus.

FIN

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Sexe d’été Torride

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Il faisait chaud, une chaleur étouffante, même la nuit. Les draps étaient en soie douce, et ils étaient si doux contre ma peau que j’enveloppais mon corps nu dedans et essayais de dormir. Mais même la soie luxueuse ne parvenait pas à chasser la chaleur de l’été tropical. Finalement, je n’en pouvais plus, je suis sortie du lit et j’ai fait un tour dans la maison.

À l’exception d’un string, j’étais complètement nue. Mes longs cheveux noirs coulaient sur mon dos presque jusqu’à mes coudes, et je balayais quelques mèches de cheveux égarées sur mes épaules en marchant. La seule autre personne de la maison est restée au lit, profondément endormie.

J’ai fait un détour par la cuisine où j’ai vidé une bouteille d’eau glacée de la fontaine. Ce n’était pas la première fois que je me rendais à la fontaine à eau ce soir, et ce ne serait probablement pas la dernière. Après mon verre, je me suis rendu à l’avant de la maison, où nous avions un salon spacieux avec une porte coulissante de style oriental menant au jardin.

J’ai déplacé les portes coulissantes sur le côté et je suis sorti dans le jardin en plein air sur le toit. Le sol était fait de panneaux d’acajou poli, des plantes étaient disséminées à intervalles réguliers et la pièce maîtresse était une grande piscine en forme de huit.

La vue était extraordinaire. Le manoir se trouvait tout près de la côte et donnait sur l’une des nombreuses baies de Hong Kong. La lune était une fine tranche de lumière argentée dans un ciel totalement dépourvu de nuages, et la mer calme scintillait à la lumière des étoiles qui se reflétait sur sa surface liquide.

Les sons de la nature qui accompagnent les paysages étonnants viennent s’ajouter à ceux-ci. Les insectes d’été étaient présents en force et un chœur de grillons remplissait l’air de leurs stridulations.

Mais même dans l’air de la nuit, il faisait une chaleur étouffante.

J’ai grimpé sur une chaise longue au bord de la piscine et je me suis allongé. Le tissu n’était pas aussi doux ou lisse que les couvertures de lit, et il serait probablement inconfortablement trempé de sueur, mais c’était mieux que rien. Je suis restée allongée un moment, regardant la vue magnifique, sans aucune gêne de voir mes seins et mon corps exposés à la vue du ciel.

Pourquoi serais-je gêné? Personne n’était là pour le voir.

Il y avait parfois des voyeurs — ou plus exactement des curieux — qui m’apercevaient en train de prendre un bain de soleil, seins nus ou complètement nus. Il s’agissait généralement d’adolescents qui se rendaient à la plage ou en revenaient, à la fois turbulents et peu sûrs d’eux. Ils s’inquiétaient de savoir comment se glisser entre les jambes d’une fille et s’ils pouvaient faire aussi bien que les gars dans les films pornos qu’ils regardaient.

Les curieux étaient rares, car sans un bon angle de vue, il était impossible de voir la piscine et le jardin sur le toit depuis le niveau de la rue, ou même depuis les maisons voisines. Bien sûr, on m’avait déjà vu en plein jour sur le jardin du toit avec peu ou pas de vêtements, et il était possible que des gens aient pris des photos ou des vidéos de moi. Il faisait trop chaud pour frissonner, même dans l’inconfort, mais la pulsion qui me poussait à le faire était également tempérée par l’exhibitionniste qui sommeillait en moi.

Et de toute façon, c’était le milieu de la nuit. Personne ne pouvait me voir me promener avec mes seins à l’air ou la fine bande de tissu rouge triangulaire qui cachait ma chatte aux yeux du monde. Je me sentais incroyablement libérée d’être nue à l’air libre, sans personne pour me voir.

Une brise murmurait doucement dans l’air, une brise torride aussi chaude et tropicale que l’air lui-même, mais une brise quand même, et je me suis installée plus confortablement dans la chaise longue inclinée. L’atmosphère chaude et humide m’excitait également.

J’ai passé ma main sur mon ventre trempé de sueur, glissant mes doigts sous le triangle de tissu qui protégeait le peu de pudeur que j’avais. Puis j’ai glissé un doigt entre mes lèvres inférieures, frottant le bout de mon doigt de haut en bas sur mon clito. J’ai fermé les yeux et ouvert la bouche lorsque mon clito sensible a réagi à mon contact et a envoyé de petites vagues de plaisir dans mon entrejambe.

Je me masturbais rarement, et rarement à l’air libre, mais cela aussi m’a semblé incroyablement libérateur. J’ai frotté frénétiquement mon clito avec le seul ciel ouvert pour m’observer, et j’ai senti mes lèvres s’engorger de plaisir. Je ne pouvais pas faire cela dans la chambre à coucher — pas avec quelqu’un d’autre partageant le lit avec moi — et c’était si bon d’avoir une séance d’auto-plaisir, une séance qui était à la fois à l’air libre et privée.

Il s’est avéré que ce n’était pas tout à fait privé.

J’ai tourné la tête et mes yeux se sont entrouverts, suffisamment pour apercevoir une silhouette de l’autre côté de la cloison. J’ai tressailli comme si j’avais été touché par une électricité statique trabzon escort et j’ai immédiatement arrêté ce que je faisais.

La luxueuse maison à plusieurs étages dans laquelle je vivais n’était pas une structure indépendante. Toutes les maisons de ce quartier étaient mitoyennes et deux d’entre elles — chacune avec son jardin et sa piscine sur le toit — étaient réunies en une seule structure. La seule chose qui séparait les deux jardins était un mur de verre à hauteur de la taille. De l’autre côté de cette cloison, quelqu’un se tenait debout et m’observait.

Je me suis redressée dans un mélange de choc et d’embarras, retirant précipitamment mes doigts de mon string. À ce mélange d’émotions s’est ajoutée l’indignation. Qui était cette personne? Pourquoi était-il dehors si tard dans la nuit, et qu’est-ce qu’il faisait à épier le jardin de quelqu’un d’autre?

La lumière des étoiles et de la lune était juste suffisante pour que je puisse le voir assez bien, et je pouvais voir qu’il n’était ni chinois ni asiatique. Sa peau claire et ses traits étaient clairement européens, tout comme sa chevelure blonde. Comme moi, il était nu, à l’exception de ses sous-vêtements : un caleçon ample qui semblait collé à ses jambes par la sueur.

Ses jambes — tout son corps, en fait — n’étaient que muscles toniques, et les traits de son visage, tout comme ses muscles, ressemblaient à du marbre finement ciselé. Il m’est venu à l’esprit de me demander ce qu’un garçon blanc faisait dans le jardin du voisin, ou dans ce quartier tout court. Il ne pouvait pas s’agir d’un membre du personnel ; les femmes de ménage indonésiennes et philippines étaient tellement moins chères à engager. Peut-être un pisciniste?

Quelle que soit la raison, il me fixait toujours.

Je me suis levé brusquement de la chaise longue et j’ai essayé de me réfugier à l’intérieur. Tout aussi brusquement — et plus vite que je ne pouvais bouger — mon curieux avait sauté par-dessus la cloison et comblé la distance le temps que je parvienne à ouvrir la porte coulissante.

Je me suis retournée juste au moment où il a plaqué sa main sur ma bouche, réprimant le cri d’effroi que je voulais pousser. Au même moment, j’ai tendu le bras et l’ai attrapé par l’entrejambe dans un élan défensif, ce qui l’a fait se figer en réaction.

Nous sommes restés là, enfermés dans une position de menace mutuelle, mes doigts se refermant dangereusement sur sa virilité sensible, et ses mains menaçant à leur tour ma trachée. Aucun de nous n’osait bouger, ni même broncher. Mon cœur battait la chamade alors que je me demandais ce que cet intrus effronté pourrait me faire si j’osais serrer — ou si ce n’était pas le fait que je menaçais de serrer.

Hormis des sous-vêtements peu solides, nous étions tous les deux nus et nos peaux moites se touchaient réellement tandis que nous nous lancions dans un combat de regards pour compléter la menace mutuelle que nous faisions peser sur nos zones vitales. Nous avons également eu l’occasion de bien regarder nos corps respectifs pendant que nous nous affrontions.

Avec un tel corps, il devait être un mannequin de sous-vêtements d’Europe ou d’Amérique. Sa musculature tonique était encore plus visible maintenant qu’il touchait mon ventre, et sa poitrine musclée était pressée contre la mienne. Il était incroyablement séduisant, et le fait d’être tout près de lui me faisait me sentir un peu faible dans les jambes, et plus qu’un peu vulnérable entre elles.

Je pouvais voir qu’il avait les mêmes pensées à propos de mon corps. Avec une main toujours serrée sur ma bouche, son autre main se promenait sur ma chair, le long de mon cou jusqu’à ma poitrine où il a pris mes seins et les a caressés. Ses caresses étaient étonnamment tendres et j’ai entrouvert la bouche en réponse à son contact.

Mes doigts étaient toujours fermement refermés autour de son sexe, et je sentais son entrejambe bombé grandir sous mon emprise. Je relâchai légèrement mon emprise et commençai à le caresser. La tension sexuelle entre nous était inévitable et grandissait comme un volcan en sommeil. Nous étions tous les deux en sous-vêtements, après tout, et la chaleur humide de la nuit d’été était comme de l’essence pour le feu sexuel grandissant entre nous.

Son autre main s’éloigna de ma bouche, s’arrêtant pour tracer un doigt sur mes lèvres avant de me prendre par le menton et de lever mon visage vers le sien. Ses yeux étaient d’un vert magnifique et s’harmonisaient avec ses cheveux blonds. J’ai oublié qu’il s’agissait d’un intrus et qu’il me tripotait, et je l’ai laissé se rapprocher de moi et presser ses lèvres contre les miennes.

Je fermai les yeux et ouvris la bouche, permettant à sa langue d’entrer. Il a pressé son corps encore plus près du mien, passant ses mains sur mon corps nu et en sueur, tandis que son entrejambe se pressait contre le mien. J’ai complètement relâché mon emprise sur sa virilité et je l’ai embrassé à mon tour, me perdant dans cette rencontre.

Sans tunceli escort crier gare, il a accroché ses mains derrière mes genoux et m’a soulevée dans les airs. Le baiser permanent étouffa mon cri de surprise tandis qu’il me portait à travers les portes coulissantes ouvertes dans ma propre maison et m’allongeait sur le canapé.

Tout en me maintenant coincé sous son poids, il a fouillé dans son caleçon et l’a descendu jusqu’à ses chevilles. Une décharge d’adrénaline a traversé mon cœur lorsque j’ai réalisé ce qui était sur le point de se produire. Ce garçon blanc m’avait espionnée, puis il avait sauté par-dessus la cloison pour m’empêcher de crier à l’aide, et maintenant il se préparait à me violer.

Entre les ombres, je pouvais voir sa bite ; longue, épaisse et blanche, pointant vers moi comme une lance de guerrier, menaçant de me violer. Je commençai à me débattre contre son poids, mais c’était inutile, il était bien plus fort que moi, et mon agitation n’était qu’une gêne mineure lorsqu’il commença à tripoter mon string.

Maintenant, je ressentais de la peur. C’était une peur étrange, exaltante, mais c’était tout de même de la peur. Il avait déjà réussi à glisser ses doigts sous le tissu de mon string, et il le tira avec force, arrachant le tissu de ma chatte et, avec lui, ma dernière protection contre sa bite menaçante.

J’étais impuissante à présent. Je ne pensais pas pouvoir rassembler la force nécessaire pour tenter une dernière fois de le repousser, et il n’a pas daigné perdre plus de temps avec les préliminaires. Je me sentais comme une jeune fille sacrifiée, donnée en offrande pour satisfaire un dieu tribal brutal, et sans autre cérémonie, il a aligné sa virilité sur ma féminité et l’a poussée à l’intérieur.

J’ai sursauté. Le souffle de choc et d’inconfort que j’ai laissé échapper a été étouffé par le chœur des grillons à l’extérieur, mais il était certainement audible pour mon agresseur, aujourd’hui thérapeute. Sa bite était plus longue et plus épaisse qu’elle n’en avait l’air dans les ombres de la nuit d’été, et j’ai senti les parois de mon vagin s’étirer plus que jamais pour s’adapter à sa taille et à sa circonférence.

Il grogna son plaisir alors qu’il s’enfonçait dans mes couilles, savourant la sensation d’être physiquement à l’intérieur d’une femme, en particulier d’une femme asiatique. Les hommes blancs et la fièvre asiatique étaient certainement une chose, et le plaisir lent et arrogant qu’il prenait à me violer au début de sa poussée m’a permis de comprendre ses penchants.

Le plus embarrassant, c’est que j’aimais ça aussi. Cette rencontre et les événements qui l’ont précédée auraient pu être tirés directement d’un roman érotique. Une femme se faisant ravir par son bel amant exotique par une nuit d’été chaude et humide. En voyant ma situation sous cet angle, alors que ses poussées et ses grognements devenaient de plus en plus forts, il m’a été plus facile de m’abandonner à ce qui était en train de se passer.

Mon violeur blanc n’avait pas de sentiments aussi compliqués, pour autant que je puisse en juger. Il a serré mon corps contre le sien, grinçant et faisant claquer ses hanches sans pitié ni retenue tandis qu’il s’enfonçait en moi. Sa bite entrait comme un piston dans mon vagin humide et accueillant, et tout ce que je pouvais faire était d’essayer de ne pas crier trop fort.

Il y avait peu de friction entre nous pendant qu’il me baisait. La sueur d’été torride de nos corps nus adoucissait nos mouvements tandis qu’il me bousculait, faisant glisser son corps d’avant en arrière sur mon ventre vulnérable, et pilonnant ma précieuse chatte à chaque poussée impitoyable de sa bite géante.

J’ai enroulé mes bras autour de ses épaules et je l’ai serré contre moi pendant que mon viol progressait. Nous savions tous les deux qu’il n’y avait pas d’échappatoire et qu’il continuerait jusqu’à ce qu’il ait eu son plaisir. Mais j’avais de plus en plus envie de satisfaire mon propre plaisir. Sa bite frappait les portes de mon col de l’utérus comme un bélier, et la tension érotique pure de la rencontre signifiait que ce n’était pas seulement la sueur qui me faisait mouiller.

Il approchait de l’orgasme. Je le voyais à sa respiration de plus en plus saccadée et à l’agressivité croissante de ses coups. La nature primitive et bestiale de son assaut sexuel sur mon corps faisait monter le plaisir en flèche dans mon ventre et dans ma chatte.

J’ai pris conscience de la situation.

Il a vu l’expression de panique qui a traversé mon visage dans la faible lumière et l’a ignorée. J’aurais dû savoir qu’il le ferait. En fait, à travers les ombres et nos ébats semi-consensuels trempés de sueur, je pouvais presque distinguer un sourire. C’était un rictus de satisfaction, peut-être même de triomphe, et je pouvais dire que j’avais laissé entendre que je ne prenais aucun moyen de contraception.

Le claquement moite de nos corps l’un contre l’autre était devenu un battement uşak escort de tambour bruyant que l’on pouvait entendre par-dessus le chœur des grillons à l’extérieur. Je glapissais et gémissais en synchronisation avec ses poussées, dans un délire de plaisir impuissant, et j’ai resserré mon étreinte sur mon violeur. C’était tout ce que je pouvais faire à ce moment-là, car l’orgasme qui bouillonnait en moi menaçait de déborder complètement.

Il grogna soudainement dans mon oreille et força sa bite en moi jusqu’à la garde. Malgré la chaleur étouffante, j’ai senti un frisson sensuel me parcourir lorsqu’un jet poisseux de chaleur liquide a jailli de sa bite au plus profond de ma chatte. Il a été suivi d’un autre jet, puis d’un autre et encore d’un autre, impulsion après impulsion de semence puissante remplissant ma chatte vulnérable jusqu’au bord.

La sensation de sa puissante charge inondant ma chatte fit éclater la bulle de plaisir qui grandissait en moi. J’ai poussé un cri d’orgasme, griffant le dos de mon violeur et enroulant mes jambes autour de ses cuisses par instinct charnel alors qu’il me violait jusqu’à la moelle. Mon ventre et mon entrejambe étaient réduits à de la gelée émotionnelle alors que mon orgasme se mêlait au sien.

Il s’est maintenu en moi le plus longtemps possible, enfouissant triomphalement sa virilité jusqu’à la garde pour concrétiser sa conquête de mon corps. L’arrogance de sa violation effrontée était stupéfiante. En même temps, je ne pouvais pas m’empêcher d’être submergée par le tourbillon de sentiments qui déferlait en moi.

Nous étions tous deux haletants d’épuisement alors que nous redescendions de notre excitation sexuelle mutuelle, et la chaleur émanant de nos corps en sueur rendait l’air estival frais en comparaison. Alors que notre respiration laborieuse ralentissait et se calmait, le bruit de fond du chœur des grillons reprenait de plus belle.

Je suis également devenue plus consciente du fait qu’il y avait un étrange garçon blanc sur moi, qui venait de me violer.

Il en a profité pour partir, se retirant et me laissant violée et épuisée, allongée sur le dos, les jambes écartées devant lui. Il s’est agenouillé pour ramasser quelque chose sur le sol, puis s’est arrêté en chemin pour bien regarder ma chatte.

J’ai senti une langue chaude et humide effleurer mon clitoris lorsqu’il s’est levé et est parti sans un mot, tenant un paquet de tissu dans sa main. Dans mon délire surchauffé et post-orgasmique, je pouvais juste distinguer son caleçon blanc et une bande de tissu rouge agglutinée : mon string.

Cet animal prenait mes sous-vêtements comme trophée.

Au moins avait-il la courtoisie de refermer la porte coulissante après lui une fois qu’il était sorti. Je suis restée paisiblement allongée dans l’obscurité, le vacarme naturel des insectes s’étant tu, tandis qu’un mélange salé de sa sueur et de la mienne coulait à flots le long de mon corps nu. Au bout d’un moment, j’ai également senti un liquide poisseux commencer à s’écouler de ma chatte.

J’ai rassemblé l’énergie nécessaire pour me lever du canapé et me rendre une nouvelle fois à la cuisine. Après avoir vidé une autre bouteille d’eau glacée directement de la glacière, je suis retourné au lit, me glissant sous les couvertures, léthargique à cause de la chaleur étouffante de l’été et étourdi par la rencontre.

L’autre occupant de la maison — et du lit — a remué à mon retour, s’est retourné et a enroulé un bras et une jambe autour de moi, nos seins se frottant l’un contre l’autre.

D’une certaine manière, je me sentais plus en sécurité avec le corps d’une autre femme blotti contre le mien. Je lui ai rendu la pareille, partageant la peau et la chaleur d’une femme avec ma colocataire et ma compagne de lit. Mais ma relation sexuelle avec ce garçon blanc sexy n’avait eu lieu qu’il y a une dizaine de minutes, et ce souvenir rendait mon corps nu intensément vulnérable, en particulier ma chatte.

Consciemment, et peut-être aussi par désir confus, une de mes mains a glissé entre mes cuisses pour se poser sur mon entrejambe et se toucher. Je pouvais sentir que mes lèvres étaient encore gonflées par le plaisir, et je pouvais sentir ma moiteur due à l’excitation résiduelle de la rencontre précédente. Je sentais aussi sa semence s’écouler de mon vagin et, malgré la chaleur torride, j’en avais des frissons.

***

Le soleil s’est levé tôt en été et il brillait déjà haut dans le ciel lorsque je suis arrivée dans la cuisine, vêtue uniquement d’une robe de chambre courte, pour commencer à préparer le petit-déjeuner pour deux personnes.

Ou plutôt pour trois.

Je me suis glissée dans ma robe de chambre et j’ai posé une main pensive sur mon ventre. Deux mois s’étaient écoulés depuis cette nuit, et je n’arrivais toujours pas à décider s’il s’agissait d’un viol ou de la meilleure chatte de ma vie — ou, de façon perverse, des deux. Mais le fruit de cette nuit grandissait en moi, et j’avais bien l’intention de le garder.

Ma colocataire est entrée dans la cuisine et a déposé un baiser amusant sur ma joue. Elle portait une culotte et rien d’autre, dévoilant ses seins au monde entier. C’était la même tenue que celle que je portais ce soir-là, et je me demandais si un jour mon violeur viendrait la chercher.

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Traduction d’un texte de creativeboyinspring

*****

– S’il vous plaît, pas plus! Dis-je faiblement en sentant que mes pieds et mes mains sont complètement déliés de la structure en fer. Tandis qu’ils s’activent à me détacher, je sens le sperme qui me recouvre commencer à s’écouler. J’ai la sensation d’être sale et dégoûtante. Je sais que chacun d’eux a joui sur moi. Et comme ils sont… six je crois, et qu’ils ont joui plusieurs fois, ça fait beaucoup de sperme.

Au moment où je ne suis plus retenue par les cordes, je tombe à la renverse, mes jambes ne répondant plus à mes ordres. Heureusement, ou peut-être pas, quelques gars m’attrapent avant que je ne tombe. Ils me soulèvent par les bars et me mettent plus ou moins debout. Je peux entendre leurs rires, j’ai vraiment l’impression qu’un train m’est passé dessus.

Et maintenant je suis en train de marcher en étant à moitié traînée sur ce terrain de jeu public. Mes pieds bougent pour que je puisse marcher, mais ils vont bien trop lentement. Puis-je les blâmer? Un train vient de me rouler dessus et j’ai été baisé au moins vingt fois de suite. J’aimerais bien savoir si quelqu’un est capable de marcher normalement après avoir subi ça.

– Pourquoi as-tu répondu à cette annonce, Michelle? Me demandé-je à voix haute alors qu’ils m’aident à avancer. Quand ils m’entendent, ils rient tous d’un vrai rire qui montre que ma réflexion était drôle.

Pourquoi ai-je dû faire quelque chose d’aussi fou que ça? Je vais avoir mal pendant des semaines, voire des mois, à cause de tout ce qu’ils m’ont fait subir. Bon sang, je ne suis pas sûre que mes seins retrouveront un jour leur apparence normale. Et toutes ces marques? Non seulement ils m’ont tous baisée, mais ils m’ont aussi fouettée avec rudesse. Et ils ne m’ont pas fouetté que les fesses, ils se sont aussi acharnés sur mes seins et ma chatte.

– Ça vient! Dit quelqu’un comme un avertissement pour que je puisse me préparer.

De l’eau glacée est projetée sur mon estomac. Instantanément je suis refroidie et je pousse un petit cri. En réaction, je lâche les gars qui me tiennent et je lève les mains pour me protéger du jet d’eau. Mais celui-ci se déplace vers le bas et asperge mes jambes. Alors j’essaie de le bloquer avec mes mains, mais les gars rigolent et arrosent ailleurs.

Je comprends alors qu’ils me lavent, qu’ils me douchent comme dans une prison. Alors j’arrête d’essayer de me protéger du jet et je les laisse faire. Et je fais la chose la plus dégoûtante que je n’ai jamais eue à faire, j’essuie le sperme sur mes yeux pour pouvoir voir ce qui se passe. Maintenant je peux voir le gars qui m’arrose. Nous sommes tous à côté d’un petit hangar, où semblent être ranger tous les outils de jardinage.

L’eau gicle sur mon corps. Je m’agite et me tortille, car l’eau froide est une vraie torture sur mon corps brûlant. L’eau est pulvérisée sur chaque parcelle de mon corps nu pour me nettoyer.

C’est alors qu’un autre gars s’approche de moi avec une bouteille qui semble contenir du savon vaisselle. Lorsqu’il arrive près de moi, le jet d’eau est dirigé vers le bas. Un sentiment, maintenant trop familier, d’humiliation m’envahit à nouveau lorsque le type commence à verser le liquide vaisselle… sur moi. Il commence directement sur mes seins, les noyant sous le liquide bleu et épais, puis il continue par mes épaules et sur le haut de ma tête et mes cheveux. Puis il descend et presse la bouteille sur moi à mesure qu’il se déplace. Ça lui prend bien une minute, mais il verse du savon sur chaque centimètre de mon corps.

La confusion que je ressentais plus tôt revient et elle est incontrôlable. Je ne comprends plus ce que je veux. Je veux dire qu’ils ne font pas là ce pour quoi j’ai signé, et pourtant j’adore ça. Le problème c’est que je déteste ça aussi. Je ne comprends pas comment je peux détester quelque chose que j’aime.

Ils auraient bien pu me donner un pain de savon et me dire de me nettoyer, mais non. Comme un chien, ils me versent du savon dessus et ils utilisent ce putain de tuyau pour me rincer. Tout ça juste pour pouvoir rire de moi. Ils ne veulent pas me traiter comme un être humain, mais comme une chose.

Mon humiliation augmente lorsque je sens des mains se poser sur moi pour faire mousser le savon. Je pourrais essayer de les arrêter, mais je garde les bras collés contre les côtés de mon corps. Je sais bien que si j’essaie de les empêcher on va de nouveau attacher mes mains.

Au premier regard, je me suis dit qu’ils devaient utiliser des éponges, mais quand je regarde mieux, je vois qu’il s’agit de morceaux de mon tee-shirt. Il utilise mon tee-shirt qu’ils ont déchiré pour nettoyer la saleté sur mon corps. Je gémis en entendant leurs rires alors qu’ils frottent vigoureusement mes seins douloureux qui ballottent.

L’eau est remise en marche et me frappe directement entre les jambes. Je glapis. Alors qu’ils m’aspergent et lavent le savon et la saleté, je dois admettre que je me sens mieux. Ne plus être recouverte de sperme est une bonne urfa escort chose. Se sentir propre change vraiment la façon de voir les choses.

– C’est bon, j’y vais! Crié-je d’agacement alors que l’on me pousse par-derrière en me demandant de marcher.

L’eau continue de m’asperger, mais elle est bientôt coupée. Le gars qui tient le tuyau le lâche. Ma réflexion fait bien rire les gars. Ils se moquent de moi comme si je les défiais de se battre avec moi.

En essayant de garder un peu de dignité en restant droite et fière, je commence à marcher en publiant que je suis complètement nue, que je viens de me faire baiser et gang-banguer. Le groupe de garçons marche près de moi, en riant et en se moquant avec des commentaires vicieux. Mais au moins je peux marcher sans que personne ne m’aide cette fois-ci. Toutefois je marche avec précaution, car je suis encore toute endolorie.

– Hé vous tous, vous n’êtes pas sérieux! Commencé-je à dire alors qu’ils me conduisent vers la balançoire en métal.

Mais des mains m’attrapent et je suis soulevée en l’air sans efforts. Ils me portent jusqu’à elle. Je me débats contre ces mains qui me tiennent, car je suis effrayée de ne pas savoir ce qu’ils veulent me faire.

Ils me placent dos à plat sur la planche de la balançoire, avec mes jambes qui pendent sur les côtés. Ils me font glisser vers le bas de façon à ce que mes fesses soient au bord de la planche. Leurs mains fortes saisissent mes mains et les tirent derrière la planche, où je sens qu’ils les attachent à nouveau. Puis ils enroulent une corde autour de mon ventre, au-dessus et en dessous de mes seins et l’attache sous la balançoire. Ainsi je ne peux plus me relever.

– Vous ne pouvez pas en vouloir plus? Comment êtes-vous encore capable de penser au sexe?

Je proteste alors qu’il m’attache à cette balançoire à bascule. Je suis surprise et stupéfaite. Après tout ce qu’ils ont fait, ils veulent encore me baiser? Comment est-ce physiquement possible?

– Qui a parlé de sexe? Demande le chef sérieusement.

Pendant un moment je ne comprends pas, puis mes yeux s’élargissent alors que je comprends ce qu’il veut dire : Pas de sexe, mais encore des abus, des punitions…

– Non, non, non, non… Protesté-je sous les rires.

Je secoue la tête d’avant en arrière pour essayer de me sortir de cette situation, mais je suis trop bien attachée.

Qu’est-ce que j’ai bien pu avouer d’autre quand on parlait? Quels autres tourments stupides ai-je dit vouloir essayer? Oh bon sang, pourquoi ai-je été aussi honnête et stupide?

– Ouvre grand! Dit l’un d’eux alors que des mains saisissent ma tête pour me forcer à ne plus bouger.

Un énorme gode est alors pressé contre mes lèvres. J’ai peur, car ce truc est vraiment gigantesque. Il est presque aussi large qu’une canette de boisson normal. Prise de court, je garde la bouche fermée pendant qu’on le frotte sur mes lèvres. Puis un de ces salauds me pince les tétons très fort. Bien sûr je crie et le gode est poussé dans ma bouche.

Les rires retentissent à nouveau et me font rougir lorsque qu’ils enfoncent l’objet dans ma bouche. Il est si gros que je sens mes lèvres se distendre dessus et m’empêcher de fermer la bouche. Je sens le goût du plastique.

Je ne suis pas stupide, je sais qu’ils ne font pas ça seulement pour m’humilier. Ils veulent me bâillonner pour que je ne puisse plus rien dire. Pour cela ils poussent le gode presque jusqu’au fond de ma gorge.

Les larmes aux yeux, je tourne la tête sur le côté. Là je vois quelques-uns d’entre eux avec un grand sac de sport. Ils sont en train de fouiller dedans, pour chercher je ne sais quoi.

– Je l’ai! Crie un des gars en sortant quelque chose du sac.

C’est l’un des noirs et quand il se lève, je vois qu’il a quelque chose dans la main. Quoi que ce soit c’est petit, mais ça brille à la lumière.

Le gars se précipite vers moi. J’ai l’impression d’un enfant qui court vers les cadeaux sous le sapin de Noël. Plus nerveuse qu’effrayée, j’essaie de voir quel objet il a en main. C’est alors qu’il me le montre ce qu’il a dans chaque main. Ce sont des pinces à tétons avec une chaîne qui les relie. En voyant cela, je ne peux que laisser échapper un faible gémissement pour lui faire comprendre que je ne veux pas. Mais il s’en moque.

Je dois le regarder ouvrir la première pince et l’approcher de mon sein gauche. Pendant un moment j’envisage de secouer ma poitrine dans l’espoir de rendre plus difficile la mise en place de l’instrument de torture, mais je crois que si je résiste, je risque d’être giflée. Un instant plus tard je plante mes dents dans le gode, car j’ai l’impression que l’on pince mon téton dur sans vouloir le relâcher. Je gémis et je ressens la même chose sur mon téton droit quand il y met l’autre pince. J’ai vraiment l’impression que leurs pinces ont été choisies avec soin, car elles serrent mes tétons aussi fort qu’elles le peuvent.

C’est alors que ce salaud attrape la chaîne et la soulève. Les pinces sivas escort tirent alors sur mes tétons. À ce moment je commence à crier ou du moins j’essaie. D’avoir les tétons pincés est déjà assez pénible, mais le fait qu’il tire sur la chaîne fait doublement mal. C’est tellement douloureux que j’essaie de cambrer mon dos pour avoir un peu de mou, mais j’oublie que je suis attachée.

Cet enfoiré continue de tirer pour me faire hurler de plus en plus fort sous mon bâillon. Mes yeux s’écarquillent alors que je vois mes seins être étirés en une forme de cône. Bon sang, que ça fait mal!

En riant, le gars tire la chaîne vers ma tête. Mes seins suivent alors le mouvement et j’ai l’impression que mes mamelons vont être arrachés. Il tire la chaîne de plus en plus loin jusqu’au morceau de gode qui sort de ma bouche. Puis il lâche prise. La douleur s’arrête instantanément, car mes pauvres seins ne sont plus tirés.

Je regarde alors ma poitrine et je vois que la chaîne est tendue. Si je bouge un peu la tête vers le haut, l’horrible douleur revient. j’insulte silencieusement le noir en voyant que si je bouge la tête, cela fait bouger le gode qui tirera sur la chaîne. Donc mes mouvements me provoqueront de la douleur.

Tandis qu’il continue de rire, je vois un de ses copains s’approcher et se mettre entre mes jambes. J’essaie trop tard de les fermer, amis il est déjà entre elles. Il place quelque chose qui se pose directement sur mon clitoris. j’essaie de voir ce que c’est, mais le gode et mes seins me bouchent la vue. Je vois le gars sortir du ruban adhésif. Il en prend un gros morceau et colle l’objet sur moi. Il répète l’opération jusqu’à ce que l’objet soit bien fixé sur moi.

Un bourdonnement se fait entendre. Je pense à un petit moteur. Puis je ressens des vibrations. Je gémis bruyamment en comprenant ce qu’ils viennent de faire et ce qui les fait rire. Ils ont scotché un vibromasseur sur mon clitoris.

En sentant les vibrations, je remue les hanches pour essayer de faire bouger la tête de l’objet. Mais j’ai beau me tortiller dans tous les sens, il reste là où il est. Il est vraiment bien collé. De toute façon comme je suis attachée je ne peux pas bouger suffisamment pour faire quoi que ce soit. Comprenant cela j’ai peur, car je sais que ça va devenir bientôt insupportable.

L’humiliation de cette situation ne fait que croître lorsque je vois le reste du groupe me regarder et rire. Ils savent exactement ce qu’ils font. Ils savent qu’ils me torturent. C’est une torture érotique et ils aiment ça.

– A mon tour! Dit un autre d’entre eux.

Il s’approche de moi avec un regard vicieux, comme s’il sait que ce qu’il s’apprête à faire va être très pervers. Je regarde vers le bas où il fait tourner dans sa main ce que je prends d’abord pour un crayon. Mais c’est beaucoup plus gros qu’un crayon.

Il avance entre mes jambes et son regard se tourne vers ce petit putain de vibromasseur qui fonctionne toujours. Je laisse alors échapper un petit glapissement sourd quand je sens les mains de gars me toucher, mais plus bas, sous mon sexe. Je pousse un glapissement plus fort quand je sens qu’il commence à écarter mes fesses.

La panique s’installe quand je sens que quelque chose se presse contre mon cul. Je commence alors d’essayer de pousser le gars avec mes pieds, mais des mains agrippent mes jambes pour les maintenir écartées. Puis je sens qu’il insère quelque chose dans mon cul. Il me met quelque chose dans mon petit trou. Il le fait lentement, centimètre par centimètre, mais il le fait. On m’enfonce quelque chose dans le cul.

Je pleure, je hurle, et je me débats, mais ça ne sert à rien. Il continue à enfoncer l’objet de plus en plus profond. Quoi que ce soit, c’est lisse donc ça rentre facilement. j’essaie de me crisper et de le faire sortir, mais le garçon arrive à l’enfoncer malgré ma résistance. Il l’enfonce de plus en plus profondément, me faisant me sentir vraiment violée. Puis il s’arrête enfin, et je sens qu’une petite partie dépasse encore.

– Hé les gars, qui lui dit qu’elle a un bâton dans le cul? Crie le gars, ce qui fait rire tous ses copains.

Des larmes coulent sur mon visage qui est rouge de honte pendant que des vibrations s’acharnent sur mon clitoris. Je lutte contre tout ça, mais je n’ai pas de chance. Je sais que je vais avoir un orgasme, que je le veuille ou non.

– Souris! Ordonne le cameraman d’un air moqueur en s’avançant pour faire un gros plan de mon visage avec le gode coincé dans ma bouche. Il descend ensuite le long de mon corps pour filmer les pinces sur mes seins et l’objet dans mon cul. Il me filme sous toutes les coutures.

Puis il recule alors que ses amis avancent vers moi. En un instant je suis entourée par quatre d’entre eux. Ils me regardent de haut. Puis je vois qu’ils ont chacun un marqueur dans la main.

Je secoue doucement la tête en faisant attention de ne pas faire bouger la chaîne. Je veux leur faire comprendre que je ne veux pas qu’ils m’écrivent dessus. Mais je tekirdağ escort pousse un glapissement lorsque la douleur irradie dans mes tétons quand je fais bouger la chaîne. Bien sûr ils rigolent et se penchent vers moi pour commencer à écrire.

Chacun d’eux choisit un endroit différent pour commencer. L’un va sur ma jambe droite, un autre sur mon bras gauche, un sur mon estomac et un autre sur mon visage? Je sens chaque marqueur humide se déplacer sur ma peau, mais je ne sais pas ce qu’ils peuvent écrire. Ils gloussent et rient tout en le faisant, ça semble vraiment amusant.

Lorsqu’ils ont terminé, chacun regarde le travail des autres et ils rient. Puis ils changent de position et écrivent ou dessinent ailleurs. Vaincue et humiliée, je me contente de lever les yeux au ciel en sentant les marqueurs parcourir mon corps. Pour aggraver les choses, je sais qu’ils changent de couleur à chaque fois qu’ils se déplacent, donc ça risque d’être vraiment coloré.

Maintenant, l’un d’eux commence à écrire sur mon sein droit. En baissant les yeux, je suis capable de le voir ainsi que l’énorme sourire du gars. Je ne comprends pas, il dessine une ligne épaisse et incurvée au-dessus de mon mamelon pris dans la pince. Puis il fait la même chose sur l’autre sein. Ensuite il échange son marqueur avec celui d’un autre homme et il dessine sur mon ventre, mais je ne peux voir ce qu’il fait.

Les rires du groupe augmentent au fur à mesure de son dessin sur mon corps. Ça ne fait qu’augmenter mon humiliation et la puissance de l’orgasme que je sens arriver. J’essaie de me concentrer sur ma respiration pour essayer de retenir cet orgasme, mais ça ne sert à rien. Donc, ma respiration s’accélère alors que je sens que je suis vraiment sur le point de jouir. Je ferme les yeux en ayant honte de ne pouvoir combattre cette réaction.

Je jouis. L’orgasme que j’essayais de retenir explose dans mon corps avec des grosses vagues de plaisir. Les vibrations dans mon clitoris refusent de s’arrêter, ce qui rend mon humiliation encore plus intense. Et tandis que je gémis, je les entends rire et me faire remarquer que je jouis encore. Mon corps s’agite et tremble sous l’effet de l’orgasme alors que mes cris de plaisir sont étouffés par l’énorme gode enfoncé dans ma bouche.

Lorsque mon orgasme commence à s’estomper, j’ouvre les yeux pour voir l’écran du caméscope. Celui qui le tient l’a tourné vers moi pour que je puisse voir ce qu’il filme. Je me sens devenir pâle et je ressens une nouvelle honte en regardant mon corps nu à l’écran. Je n’arrive pas à lire la plupart des textes qu’ils ont écrits sur moi, mais ce n’est pas le pire. Le pire c’est qu’ils ont fait de mon torse un visage heureux, avec mes seins et mes mamelons pour les yeux. Il a dessiné des sourcils dessus et en dessous, sur mon ventre, il a dessiné un énorme sourire alors que mon nombril fait le nez. C’est un putain de visage heureux fait sur mon corps nu.

Les rires fusent quand ils voient ma réaction. Je me demande vraiment pourquoi la police n’est toujours pas là avec le bruit qu’ils font. Un voisin a bien dû voir ce qu’il se passe et les a sûrement appelés. Alors pourquoi ne sont-ils pas là? Pourquoi personne n’arrête ça?

Le caméscope s’éloigne et je vois le visage du chef. Il me regarde de haut avec ce regard suffisant qui semble dire sans mots que je suis une salope stupide et vicieuse. C’est un regard que j’ai à la fois envie de frapper et d’embrasser.

– Maintenant, dès que tu auras joui à nouveau, nous arrêterons! Me dit-il un peu comme un père parle à sa fille.

Je commence à protester, mais le niveau des vibrations dans mon clitoris augmente. Puis quelqu’un s’assied de l’autre côté de la balançoire. Ce qui fait que de mon côté je bouge vers le haut. Je suis effrayée, car je n’ai pas le contrôle en étant attachée. Puis l’autre extrémité remonte alors que, sous le poids de mon corps, je redescends. Mon côté s’écrase en envoyant des secousses douloureuses dans tout mon corps, surtout avec l’objet dans mon cul. Puis de nouveau je me sens remonter.

Les rires reprennent de plus belle alors qu’ils s’amusent avec la balançoire pour me faire monter et descendre encore et encore. À chaque fois, mes pauvres seins subissent la gravité. Quand je suis en haut, je les sens qui se pressent contre mon menton. Si je bouge un tant soit peu la tête, la chaîne tire sur mes tétons. Et pendant qu’ils continuent à s’amuser, ce satané vibromasseur continuer de bourdonner comme un fou.

– Ça suffit!! essayé-je de crier à travers le gros gode qui distend ma bouche quand je sens le fouet me frapper au moment où j’atteins le sommet.

Le fouet atterrit directement sur le dessous de mes seins, ce qui me pique douloureusement. La balançoire redescend et le coup de fouet suivant tombe sur mon estomac.

Ils continuent de me faire monter et descendre et à chaque fois ils me fouettent, mais toujours à un endroit différent. Parfois c’est sur le dessous de mes seins, parfois sur les cuisses et quelques fois même entre les jambes. Je ne sais pas s’ils le font à tour de rôle ou s’il s’agit d’un seul gars qui s’en occupe. Tout ce que je sais, c’est que je dois fournir un spectacle pathétique alors que je suis attachée à la balançoire, nue et abusée, tout en sentant les vibrations envoyées dans mon clitoris.

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Christiane Soumise

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Asian

Je m’appelle Christiane, 49 ans, directrice d’un lycée professionnel. Mon mari, Alain, 51 ans est PDG d’une société de BTP. Des revenues confortables. Nous habitons dans une ville huppée de la région parisienne. Couple plutôt bourgeois, nous avons une vie bien rangée, tranquille…Enfin, nous avions une vie tranquille….Un soir ou nous rentrions d’un dîner chez des amis, notre Mercedes s’est mise à caler plusieurs fois. Alain relança le démarreur à plusieurs reprises sans aucun résultat. Nous étions au milieu de nulle part à 1 heures du matin et mon portable ne captais pas. Alain n’avait pas pris le sien. Quelle poisse!

Mon mari sorti de la Mercedes et ouvrit le capot bien qu’il ne soit pas spécialement doué en mécanique , il espérais saisir ce qui se passait. Je le rejoignit.

Alors chéri?

-Faudrait appeler un garagiste mais le portable

ne passe pas.

Je regardais autour de moi, nous étions en rase campagne, pas âme qui vive. J’ aperçue soudain au loin une enseigne lumineuse. Je repris espoir. On allait sans doute pouvoir nous aider!

Nous verrouillons la voiture et commençons notre expédition dans la nuit noir nous éclairant avec mon portable. Il y a des endroits pas très accessible et avec mes talons aiguilles j’ai du mal à avancer. Je manque tomber une première fois puis une seconde. Nous nous approchons et je réalise qu’il s’agit d’un bar. Une chance! Qui dit bar dit téléphone fixe, qui dit téléphone fixe dis pouvoir appeler un garagiste!Alain pousse la porte et nous entrons. Un silence de mort nous accueil. Toutes les conversation se sont arrêtées net des que nous sommes entrés. On dirait une scène d’un mauvais western….Il y a une dizaine d’hommes attablés dont les yeux se braquent automatiquement sur moi. Faut dire que pour mon âge , je suis encore une très belle femme. Blonde aux yeux bleus, je suis toujours très féminine, toujours en jupe et en talons. Je sais que certains de mes collègues au lycée ne sont pas insensible à mon charme et mon élégance. Et certain de mes élèves aussi sûrement… Ce soir, je porte une jupe noir qui s’arrête à mi-cuisses dévoilant mes longues jambes gainées de bas noirs à couture. Ma veste de tailleur blanche que je porte à même la peau laisse entrevoir par moment mon soutient-gorges noir emprisonnant une opulente poitrine qui ne demande qu’a jaillir du décolleté.

Alain s’approche du patron derrière son comptoir. C’est un homme barbu, bedonnant, repoussant au possible qui me dégoutte immédiatement.

Alain lui explique le problème et pendant ce temps j’observe l’assistance. Ce sont des hommes dans la trentaine la plupart sauf un vieux rize escort qui semble avoir dans les soixante ans qui est au fond de la salle. Il y a des maghrébins, des français et même un grand black qui me paraît impressionnant. Il est immense! Il doit bien faire dans les 1m95 voir 2 mètres!

Je sursaute en entendant le patron s’esclaffer :

– Un garagiste a cette heure ça vas pas être simple à trouver! Mais vous avez de la chance, Eh Rachid!

Le dénommé Rachid se lève et viens vers nous.

– Il est pas garagiste mais je vous promet qu’il est drôlement fort en bagnole! Il vas vous la réparer votre caisse, moi je vous le dis!!

Mon mari serre la main du jeune homme et il décide d’aller voir sur place ce qui ne vas pas et si il peut réparer la panne. Je fais un pas vers la porte pour les suivre quand la patron du bar m’interpelle.

– Vous allez pas sortir dans le froid comme ça ma ptite dame, restez au chaud avec nous.

Alain s’approche de moi.

– Il a raison, reste ici, on n’en a sans doute pas pour très longtemps.

Et il sort me laissant seule dans ce bar sordide, pas très rassurée….

– Je vous offre un verre ma ptite dame?

Il m’énerve a m’appeler « ma ptite dame » celui la…Je décline poliment en lui disant que je n’ai pas d’argent sur moi.

– Je vous l’offre. Me dit il en me faisant un clin d’œil. Pas vrai les gars, lance t’il à la cantonade, faut être galant avec les jolies dames!

Je rougis en les entendant éclater de rire et je bredouille un remerciement. Il me sert d’office un petit verre rempli d’un liquide blanc. Le patron me dit s’appeler Michel et me présente les habitués des lieux (les piliers de comptoir quoi) Il y a Mouloud ( qui est le frère de Rachid) et le vieux au fond c’est Ibrahim, le père de Mouloud et Rachid. Le grand black c’est Mamadou , un sénégalais , me précise t’il en me faisant de nouveau un horrible clin d’œil. Un jeune blond, un dénommé Franck vient me serrer la main. Il a pas l’air très évolué Franck…Du coup, tous les autres se lèves et viennent me serrer la main aussi . Je me retrouve entourée par une dizaines de types. Michel lance un « c’est ma tournée les gars » et sert un verre a tout le monde. Ne voulant pas être grossière, j’accepte de trinquer avec eux . Sans réfléchir, je prends mon verre et avale une gorgée. L’horreur! Je ne sais pas c’est que c’est mais c’est terriblement fort. Je tousse et des larmes me montent aux yeux. Tout le monde éclate de rire. Il m’encourage a reprendre une autre gorgée arguant le fait que c’est la première la plus dure à passer. J’obéis et de nouveau je me sakarya escort met à tousser. Je commence à avoir chaud, très chaud. La tête commence a me tourner un peu. Je veux aller m’asseoir et je titube sur mes talons aiguilles. Des bras s’empresse de m’attraper avant que je ne tombe. Je sens des mains baladeuses me toucher les fesses et les seins mais je n’arrive pas a réagir. Que m’arrive t’il? Je suis dans état second.

– J’ai chaud. Bafouillais-je.

Michel, le patron du bar, fais le tour de son comptoir et se plante devant moi, un mauvais rictus aux lèvres.

– C’est vrai qu’il fait chaud…

Et il déboutonne ma veste l’ouvrant largement découvrant mon soutient-gorges en dentelle. Il malaxent mes seins sans ménagements et baisse les balconnets dévoilant mes seins a toute l’assistance. Des mains avides se précipitent triturant mes seins, pinçant mes tétons, tirant dessus. Je pousse un petit cri. On soulève ma jupe exhibant mes bas à couture accrochés aux portes-jarretelles. On siffle autour de moi admirant ma lingerie fine. Debout au milieu de ces hommes que je ne connaissait pas il y a encore dix minutes, je suis exhibée sans retenue. On me suce la pointe des tétons, on me caresse les jambes, des doigts me titille la vulve a travers mon string. A ma grande honte, je réalise, toujours dans une demi-torpeur, que je commence a ne pas rester insensible à ses caresses. Michel m’écarte mon string et ses doigts s’enfonce dans mon intimité. La , je tente de protester mais Franck me tourne la tête et enfonce sa langue dans ma bouche m’embrassant goulûment. Mouloud et son père n’en perde pas une miette et joue avec mes seins les soupesant. Michel fais coulisser son index et son majeur dans mon vagin me faisant haleter. Les insultes commencent a pleuvoir. Je reçois une claque sur les fesses me faisant crier.

– Tais toi salope! Tu n’attendais que ça. T’es trempée. T’es vraiment une chienne sous tes airs de bourgeoise respectable.

Je pousse un long gémissement. Le patron du bar me lèche la vulve. Il me titille le clitoris avec sa langue. On me force a me mettre a genoux au milieu de la salle. Michel sort sa bite et me l’enfourne dans la bouche me faisant hoqueter. Il m’agrippe les cheveux et fais coulisser sa queue entre mes lèvres rouges. Il me l’enfonce très loin m’étouffant. Il s’éloigne et il est aussitôt remplacé par Mamadou qui me présente un chibre impressionnant Je tente de reculer effrayée par la longueur et l’épaisseur de l’engin mais on me pousse en avant et Mamadou enfonce son énorme queue dans ma bouche. J’ai un haut le cœur et peine à sucer samsun escort sa bite Je salive dessus le pompant mécaniquement. Puis ce fut Mouloud et son père que je dus sucer alternant entre les deux bites. Pour son âge, Ibrahim est encore en forme. Je suis relevée et penchée en avant. Je suce toujours la bite d’Ibrahim et je sens des mains s’accrocher à mes hanches. On me pénètre brutalement et je pousse un cri. Je tourne la tête. C’est Michel qui me pilonne comme fou faisant coulisser sa bite dans ma chatte trempée. Je suce plusieurs bites en même temps. Franck et Mamadou m’oblige a prendre leurs deux bites dans la bouche me déformant la mâchoire. Je suis prise en photo et en gros plan par le portable de Mouloud. Michel se retire et Franck le remplace. Il me bourre comme un malade, son ventre vient claquer contre mes fesses. Je sens que je vais pas tarder à jouir et je pousse des gémissements, haletante. Franck accélère la cadence sous les encouragements des autres. Je pousse un hurlement en ayant un orgasme dévastateur qui me laisse pantelante. Je manque de tomber et du coup on me positionne à quatre pattes. Mamadou se précipite et je proteste quand je sens sa bite se poser sur mon anus.

– Non!! S’il vous plait, pitié, pas par la! HAAAA

Je pousse un hurlement. Sans aucune pité, Mamadou m’a enfoncé sa queue dans mon trou du cul! J’halète sous l’infamante intromission. Je tente de reprendre mon souffle. Mamadou commence à bouger faisant des allers-retour dans mon cul. J’aperçois du coin de l’oeil plusieurs de mes tourmenteurs qui prennent des photos ou carrément filme la scène. Mamadou me défonce en soufflant comme un porc. Il se retire brutalement et éjacule sur mes fesses en grognant.

Ibrahim m’agrippe les hanches et enfonce sa bite dans ma chatte me limant tout doucement d’abord puis de plus en plus vite me faisant gémir sans discontinuer, secouant la tête dans tous les sens. J’ai un deuxième orgasme qui me fait hurler . Ibrahim se précipite devant mon visage ravagé et éjacule libérant un torrent de sperme qui va s’écraser sur mon visage fin. J’en ai sur mes lèvres, les cheveux, le menton. Il est remplacer par son fils Mouloud. Lui choisi de m’enculer. Sa bite déforme mon anus. Il me donne de violents coups de reins. Mes seins ballottent dans tous les sens sous ses coups de boutoirs. J’ai un troisième orgasme sous les hurlements de la foule.

Je suis affalée sur le sol du bar. Épuisée par les trois orgasmes. Honteuse aussi. Tous les autres sont au dessus de moi et se masturbe. Ils éjaculent les uns après les autres libérant leurs semences qui vient s’écraser sur mes seins, mon nez, mon menton…J’en ai partout….j’aperçois alors Rachid parmi ceux qui vienne de jouir sur moi. Horrifiée, je réalise que si Rachid est la , Alain, mon mari doit aussi être la.!!!

Affolée, je tourne la tête.

Alain est debout au milieu du bar. Il me regarde avec consternation et tristesse…

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Amateur

Cette histoire est une fiction complète. Elle fait appel à des rapports non consentis que je désapprouve mais qui nourrissent des fantasmes. Si vous n’êtes pas amateurs, ne la lisez pas.

Cela fait maintenant plusieurs années que je nourrissais le fantasme de voir ma femme se faire prendre par d’autres hommes, de préférence vieux et repoussants. Il faut dire que si notre vie amoureuse et familiale est au beau fixe, notre vie sexuelle est en berne depuis une dizaine d’années, avec un ou deux rapports très classiques par mois, au mieux. Et pourtant son corps tout entier tend à la sensualité. La quarantaine, rousse avec une opulente poitrine (95D), des hanches bien formées, une toison rousse juste entretenue…Chaque fois que je la vois, elle m’excite comme au premier jour. Je regrette d’autant plus nos absences de rapport que je suis très demandeur. Quant à évoquer rapports avec des autres hommes, même quand je l’évoque sur le ton de l’humour, elle coupe la conversation et me traite d’obsédé. I essayé plusieurs fois de discuter avec elle de son absence de désir, mais elle ne veut pas en entendre parler. Je lui ai proposé que nous allions consulter un sexologue, elle refuse en arguant que nous n’en avons pas besoin. Bref, je ne vois pas de solution…

Un jour, alors qu’elle était un peu malade, elle prit un somnifère que sa mère lui avait donné. Je regardais la télé à ses côté dans le lit. Au bout de demi-heure elle dormait profondément. Je lui caressais le bras doucement, pas de réaction. Je passais alors ma main sous les draps, remontais le long de sa chemise de nuit, le souffle court, effleurais son sexe. Toujours pas de réaction. Pour vérifier son état d’endormissement je la secouais un peu violemment, mais elle ne bougeait toujours pas. Je décidais donc d’aller un peu plus loin, je baissais complètement les draps et remontais sa chemise de nuit jusqu’au-dessus de ses seins, la dénudant complètement. Là je ne pouvais pas m’empêcher d’admirer son joli corps. J’utilisais mon portable pour le photographier. Je caressais ses seins, faisant pointer ses larges tétons par de petites caresses. Puis je descendis sur son ventre, son pubis, son mont de venus. Je m’attardais un moment sur le petit bouton, puis je me suis attaqué à ses lèvres. Rapidement, celles-ci devinrent humides. Et là ma femme se mit à bouger et à se mettre sur le côté, en chien de fusil. J’ai eu vraiment peur qu’elle ne se réveille et je restais là, sans bouger deux à trois minutes. Je la secouais à nouveau et comme il n’y avait pas de réaction, je repris mes caresses sur son sexe, pénétrant cette fois celui-ci d’un doigt, puis de deux. Mon excitation étant à ce moment-là à son comble, je lui éjaculais sur les fesses, passant mon gland souillé sur son anus et ses lèvres intimes. Je l’essuyais soigneusement, pour ne pas laisser de traces. Le lendemain, elle ne se souvenait de rien, en tous cas elle ne fit aucune remarque. J’étais à la fois super excité par ce qui s’était passé et tout de même un peu frustré de ne pas en avoir plus profité. Une occasion comme celle-ci ne se reproduira peut être jamais et j’aurais aimé aller plus loin, la baiser, lui éjaculer sur le visage, lui doigter l’anus et prendre plus de photos…Je cherchais un peu plus d’information sur le somnifère qu’elle avait pris, c’était apparemment un déclencheur de sommeil puissant, avec des effets psychotropes. Il était même interdit en Suisse et considéré là-bas comme une drogue.

Plusieurs mois passèrent et je n’arrêtais pas de penser à cette soirée et aux possibilités qu’elle ouvrait. Bien sûr ça allait contre la morale, mais les refus permanents de ma femme de répondre à mes attentes et surtout son refus d’en discuter me frustraient de plus en plus. Je décidais de me faire prescrire de ce somnifère par un médecin. A la pharmacie, la pharmacienne me conseilla de ne pas abuser de celui-ci, car il était très puissant, et surtout de ne pas conduire après en avoir pris. Il me suffisait à présent d’attendre la bonne occasion.

Celle-ci sembla se présenter par le biais d’une invitation pour le réveillon du jour de mersin escort l’an. Le père d’un de mes amis l’avait autorisé à faire une fête dans son chalet à la montagne. Comme il y avait 3 chambres, il nous a proposé de dormir sur place, alors que les autres convives louaient un gîte à quelques centaines de mètre de là.

Nous sommes arrivés en fin d’après-midi, prenant possession de notre chambre, rustique mais agréable. Le chalet n’était pas très grand, mais disposait d’une pièce à vivre spacieuse, qui mêlait cuisine, salle à manger et salon avec un canapé et deux fauteuils. Ma femme se prépara, ayant choisi pour l’occasion une robe bleu nuit avec un beau décolleté et lui arrivant mi-cuisse. Des bas auto fixant (je n’avais jamais réussi à lui faire mettre les jarretelles que je lui avait offerte il y a plusieurs années), des bottes complétaient la tenue. Elle s’aperçut qu’elle avait oublié de prendre son soutien-gorge bandeau, le seul qui pouvait lui aller avec cette robe. Elle essaya un soutien-gorge classique, mais on voyait tout le haut de celui-ci…Je lui faisais remarquer que cela faisait prostitué, en en convint et dû se résoudre à ne pas en mettre, ce qu’elle ne faisait jamais. Je lui garantissais qu’on ne voyait rien, ce qui était vrai quand elle se tenait droite, mais dès qu’elle se penchait en avant, la robe baillait et on pouvait nettement distinguer ses gros globes mammaires, presque jusqu’aux auréoles. Elle finit de se préparer avec un maquillage léger. Déjà les premiers invités arrivaient et la soirée se lançait. Le père de mon ami, quant à lui, avait une autre soirée chez des amis, et nous abandonnait donc le chalet. Avant de partir, il complimenta toutefois mon épouse sur sa tenue. Ce petit homme de 70 ans un peu bedonnant ne se priva pas pour jeter un coup d’œil appuyé et lubrique au décolleté de ma femme en prenant congé.

L’ensemble des invités étaient maintenant arrivés, et le champagne coulait à flot. J’avais en permanence un verre à la main, faisant semblant de boire beaucoup mais ne trempant que les lèvres. Je m’arrangeais pour que le verre de ma femme ne désemplisse pas lui non plus. La salle à manger servait de piste de danse, les alcools et les toasts étaient sur le bar de la cuisine et le salon servait à ceux qui voulaient un peu s’isoler. Ma femme et moi alternions passages sur la piste de danse et retour vers la cuisine. Chaque fois qu’elle se penchait en avant pour prendre un toast ou un verre, elle dévoilait une partie importante de sa poitrine, qui n’échappait pas aux mâles postés en face d’elle. Je surpris même mon pote lui servir un verre de champagne un peu trop loin de l’autre côté du bar et elle dû se pencher profondément pour l’attraper. Il eut certainement à ce moment-là une vue imprenable sur ses seins.

Le père de mon ami revint de sa soirée vers 2h30 du matin, et tout naturellement se joignit à notre groupe. Il nous fit trinquer plusieurs fois, sortant de sa cave de bonnes bouteilles de champagne. Il remplissait plus souvent qu’à son tour le verre de mon épouse, qui commençait à être clairement saoule. A ce moment fût servi un granité de citron vert à la vodka, auquel je rajoutais les somnifères réduits en poudre. J’avais doublé la dose par rapport à la fois précédente, pour plus de sécurité. Une fois l’entremets englouti, nous sommes retournés danser. Certains invités commençaient à partir, la piste se clairsemait. Au bout d’une vingtaine de minutes, ma femme commença à montrer des signes de fatigue visibles. Je l’emmenais donc se reposer sur le canapé. Je m’assis à côté d’elle, lui caressant doucement le genou. Très rapidement, elle sombra dans une léthargie totale. Je continuais à lui caresser le genou, mais mes caresses montaient de plus en plus haut, jusqu’à la lisière des bas pour effleurer sa peau à l’intérieur des cuisses. Doucement, je lui écartais un peu les jambes pour faciliter mon accès à sa culotte. De la piste de danse personne ne pouvait se douter de mon manège. Je caressais son sexe à travers le fin tissu, doucement dans un premier temps, puis de manière muğla escort plus appuyée. L’absence totale de réaction m’incita à écarter la culotte et à insinuer un doigt entre ses lèvres légèrement humides. Je ressorti mon doigt mouillé de ses secrétions et lui essuyais sur le visage. Je remontais la robe pour qu’elle dévoile le liseré des bas, en faisant une minijupe indécente. De la même manière, je tirais dessus pour qu’elle dévoile encore plus la poitrine de mon épouse. Le tissu s’arrêtait maintenant à la limite de ses auréoles. Ces préparatifs réalisés, j’allais m’installer dans le fauteuil en face, distant d’à peine 1 mètre.

A peine dix minutes après, je vis s’approcher le père de mon ami. Je faisais bien sûr semblant de dormir. Il se dirigea vers moi et me secoua doucement, en disant « hé mon gars ça va? ». Pas de réponse de ma part. Il me secoua alors vigoureusement. Pas plus de réponse. Je le senti s’éloigner. Je l’observais à travers mes paupières mi close. Il vint s’asseoir à côté de ma femme et comme il l’avait fait pour moi, il la secoua en lui demandant si ça allait. Il continua à la secouer, mais cette fois en lui mettant la main sur un sein, que je le vis pétrir à travers le tissus de la robe. Il se releva alors et à ma déception il se dirigea vers la cuisine. De loin, je le vis discuter avec son fils. Quelques secondes plus tard, ce dernier éteignait la musique et prenait congé des derniers couche-tard qui n’étaient pas encore partis. Puis les deux hommes, une fois la porte verrouillée, se dirigèrent vers le salon. Le père dit alors à son fils :

– Regarde-les, ils sont tous les deux ivres morts. Ils ne réagissent plus du tout.

Et joignant le geste à la parole, il me secoua violemment sans que je bronche.

– Et elle c’est pareil, tout à l’heure j’ai attrapé son nibard et elle a pas bougé d’un centimètre. On ne peut pas laisser passer une opportunité comme ça.

– Mais papa, si un des deux se réveille?

– Pas de risque, ils sont complètement bourrés. Si ils se réveillent ils croiront qu’ils ont rêvé…va plutôt baisser un peu la lumière.

Pendant que le fils s’exécutait, le père se rassit à côté de ma femme, et tirant sur la robe, en fit sortir les deux seins.

– Putain ces nibards qu’elle a…Depuis que j’ai vu que cette salope n’avait pas de soutif, j’ai eu envie de les lui bouffer…Je pensais pas que ça serait possible.

Il n’avait pas terminé sa phrase qu’il se penchait sur elle et gobait ses tétons, les aspirant goulument tout en malaxant le sein de sa main.

– Tu vois, elle capte rien du tout, allez enlève lui sa culotte, qu’elle nous montre sa chatte.

Mon ami se positionna à genou devant elle, souleva la robe jusqu’aux hanches, et, en passant les mains sous ses fesses, lui retira sa culotte de dentelle noire. Il repositionna ma femme les jambes largement écartées, offrant ainsi aux deux hommes une vue imprenable sur son sexe ouvert.

– Ahhh, j’adore les chattes poilues, dit le père, en plus c’est une vraie rousse.

Mon ami lui ne dit rien, mais il plongea son visage entre les cuisses de mon épouse et commença à lui prodiguer un cunnilingus endiablé. Afin de faciliter son accès, il avait positionné les jambes de ma femme, toujours vêtues des bas et des bottes, sur ses épaules. De mon poste d’observation, je le voyais clairement donner de larges coups de langues, allant de son clitoris à son anus. Il lui introduisit un doigt dans le sexe, en faisant de petits mouvements de plus en plus amples. Un deuxième doigt vint accompagner le premier, le mouvement devenant de plus en plus fort et rapide. De là ou j’étais je pouvais entendre le clapotis que faisaient ses doigts dans le sexe de ma femme.

– Elle mouille cette chienne…Mais c’est vrai qu’elle est dans le coltard complet, j’ai beau la doigter à fond elle réagit pas

– Pousse toi, je vais la baiser, dit le père qui entretemps avait baissé son pantalon et exhibait un sexe de taille honorable déjà bandé.

Il la positionna sur le dos, au bord du canapé, lui releva les jambes et nevşehir escort présenta son sexe à l’entrée de celui de ma femme. Un autre homme que moi allait la baiser et j’allais pouvoir assister au spectacle.

D’un seul coup de rein il l’embrocha jusqu’à la garde, le fourreau bien préparé par l’intromission des doigts de son fils.

Ce dernier en avait profité pour poser son pantalon et son caleçon et s’assoir sur le visage de mon épouse. Pendant que son anus frottait contre son nez et sa bouche, il faisait coulisser son sexe entre les deux seins.

Le père donnait à présent de violents coups de butoir, s’enfonçant toujours un peu plus profond.

– Putain ce qu’elle est bonne, il y a bien longtemps que je me suis pas tapé une pute pareille. Enlève-toi, je vais lui gicler sur le visage.

Disant ça il prit la place de son fils et rependit de larges trainées de sperme sur le visage de ma femme, le recouvrant de sa liqueur blanchâtre. Il insistait bien avec son gland sur les lèvres pour en faire rentrer dans sa bouche.

– A mon tour de la baiser maintenant. Je vais la prendre en levrette.

Il la retourna sur le ventre, les genoux sur le sol et le corps sur le canapé. Il se positionna derrière elle et c’est à ce moment que je pu voir que son sexe était sensiblement plus gros que celui de son père. A son tour il présenta son gland et contrairement à son père, poussa tout doucement, faisant rentrer la colonne de chair centimètre par centimètre dans la vulve de ma femme.

Quand il fût au fond, il commença à la labourer par des coups de reins contrôlés, ressortant pratiquement tout son sexe à chaque fois. En même temps, il avait craché sur son anus et la pénétrait avec son pouce.

– J’aimerais bien l’enculer, mais elle est trop étroite et avec mon gros chibre je vais la déchirer…et demain elle va s’en rendre compte

– Oui déconne pas, rétorqua le père

Toutefois il continua ses coups de reins et son pouce était maintenant totalement fiché dans l’anus un peu distendu. A l’accélération de la cadence, j’ai compris qu’il allait bientôt jouir. Il se retira du sexe pour poser son gland sur la rondelle de ma femme et y lâcher sa semence.

– Voilà, je n’ai pas pu l’enculer, mais je lui ai quand même mis du foutre dans le cul. Bon maintenant il faut la nettoyer et la remettre comme elle était.

C’est ce qu’ils firent, essuyant le sperme avec du papier essuie tout et la rhabillant, tout en la caressant une nouvelle fois. Puis ils partirent se coucher.

J’attendis un bon quart d’heure avant de me lever, et de porter ma femme jusqu’à notre chambre. Là je la déshabillais complètement, lui caressant les seins, le sexe et l’anus. La mettant sur le côté, je la prenais en cuillère pendant quelques minutes. Je m’arrêtais, sentant la jouissance proche. Je titillais son anus avec un doigt, qui rentrait facilement, puis deux. Cette intromission était facilitée par les restes du sperme de mon ami, qui n’avaient pas été nettoyés. N’y tenant plus, je collais mon gland à la rondelle et poussait d’un coup. Celui-ci fut comme absorbé par le fondement de ma femme, et enfin je pouvais la sodomiser, ce qu’elle m’avait toujours refusé. L’excitation trop forte eu rapidement raison de moi et je me retirais juste à temps pour lui jouir sur le visage. Ça aussi elle me l’avait toujours refusé…C’était cette fois à mon tour de la nettoyer, de lui mettre sa chemise de nuit et de la coucher convenablement.

Le lendemain, elle se réveilla vers 1h de l’après-midi. J’étais déjà éveillé. Elle me dit qu’elle ne se souvenait pas de la fin de la soirée. Je lui racontais qu’on était tous les deux fatigués, qu’on s’était mis sur le canapé et endormi. Que je m’étais réveillé au petit matin, l’avais réveillée pour qu’on retourne à la chambre. Là on avait fait l’amour puis on s’était endormis. Ce qui expliquait l’état de son sexe me dit-elle. Elle me dit aussi qu’elle préfèrerait dans le futur que je ne profite pas du fait qu’elle soit saoule pour lui faire l’amour…Si elle savait…

Nous nous sommes préparés et sommes aller manger avec mon ami et son père. Ceux-ci firent comme si de rien n’était, même si j’ai bien capté quelques regards complices entre eux.

En partant nous les avons bien remerciés…pour tout!

De mon côté cette histoire m’ouvrait plein de nouvelles possibilités de réalisation de fantasmes…

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